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Travail

  • Mais CAsC on s'en fout !

    C'est à peu près la phrase qui m'est venu à la bouche quand a commencé le reportage sur les salaire des patrons du  CAC 40.

    Je veux bien admettre que ces quarante dirigants, sur des millions de travailleurs, ai des grandes respnsabilités. Cela ne me semble pas pour autant justifier des montants annuels équivalent à des decénnie de salaire minimum : celui que percoivent probablement des centaines de milliers de personnes.

    Mais ce qui m'indigne plus que les chiffres en jeu c'est que la presse en parle tant que ca alors que ce ne sont que 40 personnes.

  • Say oui to France & innovation

    A défaut de réussir à redresser la production industrielle française l'Etat incite les entreprises étrangères a localiser une part de leur activité en France.


    Did You Know? Invest in France Agency par AFII

    Cette vidéo est très sympathique, personellement j'ai du mal à tout comprendre tellement le narrateur va vite. Mais pour les anglophones cela ne doit pas poser de problème, pas plus que le parisiano-centrisme que je déplore même s'il est traité avec humour. On peut tout a fait réussir professionnellement sans être dans la capitale. Comme Airbus ou Michelin.

  • procès Kerviel, 2ème !!

     

    Voilà un clap de fin qui fait beaucoup de bruit, celui du procès en appel de Jérôme Kerviel.

     

    Beaucoup de bruit pour rien diront certains puisque le jugement de première instance a été confirmé.

     

    Mon avis sur le sujet n'a pas changé. Surtout que la peine de prison ferme n'étant pas assortie d'un mandat de dépôt, l'ex-trader est toujours libre de dormir où il veut. Si ce n’est pas le signe d’un non-lieu qui ne dit pas son nom il faut m’expliquer.

     

    J'espère qu'il se pourvoira en cassation et que ce procès sera celui du pouvoir excessif de la spéculation sur l'économie réelle.  Un peu à la manière de Badinter qui à transformé le procès de Patrick Henry en procès de la peine capitale.

     

     

  • les camions aussi prennent le téléphérique

    Oui, j'ai bien écris téléphérique et pas périphérique. Un chantier d'altitude dans les Alpes suisses avait besoin de bennes de grandes capacités. Comme aucune route ne menait jusque là haut ils ont ont fait passés les camions par le téléphérique. La preuve :

    Trucks-in-the-Sky.jpg

    Ils sont fous ces helvetes.

  • France -1 / Sarkozy -1

    Le coup de sifflet final vient d'être donné sur le match qui opposait l'hyper-président à une partie des français. Et le score est sans appel : tout le monde a perdu. Pour l'élyséen c'est sa popularité qui s'étiole encore et pour les autres c'est la foi en la démocratie.

    Ainsi en est-il de mon opinion sur la promulgation de la loi sur la réforme des retraites. Loi pour laquelle j'ai amèrement constaté un entêtement forcené, qui pourrait servir de modèle a une dictature, et un déni pur et simple des critiques adressées par l'opposition et les syndicats ouvrier qui, contrairement à ce que semple oublie le petit nico, représentent aussi les français.

    Ne reste plus qu'à espérer que les nombreux décrets d'application nécessaire ne voient pas le jour comme c'est le cas pour de nombreux textes.

  • Que d'émotions en une journée !!

    Ah ils veulent de la paperasse !!
    Cette journée commençait plutôt bien, il faisait pas trop moche et tout et tout mais à partir du moment où le courrier est arrivé cela s'est gâté. Pourtant le fait d'avoir déjà une réponse de l'Assedic à ma demande d'allocation chômage aurait pu être une bonne nouvelle, surtout que j'ai envoyé le dossier ya pas une semaine. Seulement voila, plutôt que de me dire un truc du genre "tout votre travail déjà effectué vous donne une compensation de celui que vous n'avez pas pour l'instant" et bien on me dis plutôt "le même nom et la même adresse pour vous et votre principal employeur c'est un peu gros comme tricherie". Car c'est bien ainsi qu'il fallait interpréter le courrier, on me soupçonne de vouloir encaisser frauduleusement des allocations auxquelles j'ai droit (j'ai fais le calcul). Et moi qui pensais jusque là que c'étais bien pratique de pouvoir travailler dans l'exploitation agricole de Papa dès qu'il en avait besoin (moi aussi d'ailleurs), je me mettais le doigt dans l'oeil jusqu'au genou. Vos auriez vu la liste des documents qu'il me demandais c'était un vrai contrôle fiscal, ya des trucs que je savais même pas ce que c'est. Heureusement que je n'avais qu'a demander à mon père parce que sinon je n'aurais jamais rien eu. Histoire de vous donner un ordre d'idée des éléments qu'ils voulaient que j'ajoute il y avait les statuts de l'entreprise (un dossier de 30 pages) et une attestation de la banque comme quoi je ne détiens aucune part de la boite. Dingue non ? Surtout quand on sait que j'envoie au centre informatique de Bordeaux une copie de mon bulletin de salaire chaque mois que je travaille pour Papa. Ce dernier à d'ailleurs trouvé que cela mérite une lettre d'insulte, ce sur quoi je suis d'accord.
    Comme tous les vendredis Étienne va à la gym et que le bureaux des Assedic est à coté de la salle Maman à fait d'une pierre deux coups et a déposé le dossier dans la boite aux lettres où il attendra tout le week-end que celui qui l'y prendra se dise "oh mazette ! c'est au moins un dossier pour une retraite"


    que de frayeurs pour un portable (5/10)
    Maman a en fait ce soir fait d'une pierre trois coups puisque comme à son habitude elle a fait les courses pendant que Étienne s'entrainait. Mais une fois arrivé à la maison elle ne trouve plus son portable, un modèle qui ne sait faire que ce qui à rapport à de la téléphonie (ni photo, ni visio, ni mp3 et tout ces trucs inutiles qui font que les portables coûtent un prix fou). Certains diraient que c'est là l'occasion de "s'offrir" un bidule multifonctions, ce serait bien mal connaître ma mère pour qui la simplicité prime souvent sur la futilité. D'autant plus que la dernière fois où elle a été en pareille situation elle s'est résigné à prendre un nouveau combiné dont le choix s'est avéré ardu puisqu'elle voulait un appareil simple, pas cher et avec des touches qui ne soient pas minuscules.
    Donc malgré sa grande fatigue de ce soir elle est reparti avec moi jusqu'au supermarché (25 kms) puisqu'elle pensait avoir laissé son précieux appareil (contenant des numéros qui ne sont que là) sur le toit de la voiture pour ouvrir le coffre avant d'y charger les commissions. Une fois sur le parking vide (un peu normal à environ 23h) on s'est garé pas très loin de là où elle était précédemment dans la soirée et nous nous sommes mis à la recherche de l'appareil fugueur à la lueur des lampes de poches emportées pour la circonstances. J'avais pris soin de prendre mon propre portable pour appeler celui de maman et ainsi le localiser, à l'excepte condition que la batterie ne se soit pas totalement vidée depuis que j'ai laissé le message destiné au retrouveur potentiel avant de partir de la maison. La méthode s'est révélé efficace et en moins de 15 secondes la rangée de chariots à proximité s'est mise à diffuser de la musique classique. Je veux bien que le matériel se modernise mais là il ne pouvais pas y avoir de coïncidence. Le portable attendait sagement au fond du dernier chariot encastré de la file que quelqu'un de bien intentionné viennent le rapporter à la caisse centrale le samedi matin.
    Si une telle aventure devait vous arriver ne manquait pas de vous inspirer de celle ci.
    A très bientôt pour le prochain épisode haletant des tranches du quotidien de Gaby.

  • fin de vacances

    Pour la fin de cette première semaine officielle de vacances voici un petit résumé de tous ceux que je sais qu'il s'est passé pour les membres de la famille et les autres aussi.

    Dans la famille :
    Le parcours découverte organisé par le lycée de Maman ne produisant toujours pas les effets escontés il est probable qu'il passe à la trappe dès l'an prochain.
    Olivier à un emploi du temps étalé du mardi au jeudi. Cécile à elle aussi un emploi du temps plutôt sympa alors que tous leurs collègues semblent avoir des horaires à la con.
    Edith n'est pas encore retournée à la fac.
    Coline rentre lundi prochain et ses colocataires arrivent peu à peu, vraisemblablement eux aussi avec une montagne de bagage.
    Etienne entame les cours de cinquième et ne semble pas trop appréhender la chose, la gym a repris elle aussi et les cours sont vendredi soir et samedi matin.
    Corentin est entré au collège et ne semble pas trop affecté par ce changement.
    Pour les deux derniers il va falloir changer l'organisation du travail à la maison, situation très bien résumée par la phrase de maman "samedi prochain vous ne ferez pas vos devoirs dimanche"

    Chez les amis :
    Céline a terminé son contrat saisonnier à la SNCF le 9 et son poste à été prolongé mais attribué à quelqu'un d'autre.
    Jeanne-Erique cherche du travail et rêve d'un appart' rien qu'à elle, en tout cas de quitter la maison de ses parents qui vivent à Maurice (l'île) pour leur travail.

  • fin de contrat

    Mon contrat de saisonnier à pris fin hier. Voici un petit résumé de ces presque deux mois de travail à l'abri de la lumière du soleil, que ce soit à cause des nombreux nuages de cet été où des quelques mètres de terre que j'avais au-dessus de la tête. Plutôt normal quand on travaille dans des grottes.

    Pour commencer j'ai trouvé ce travail grâce à l'ANPE qui malgré son apparente inefficacité sert quand même à quelque chose. En fait c'est pas exactement par ce biais que j'ai trouvé le contrat mais ca serait pas très intéressant à expliquer.
    J'étais payé au smic 35h par semaine alors que j'en faisais beaucoup plus mais c'était pas vraiment gênant parce que j'avais le repas chaud offert par la patronne et des visiteurs versaient des pourboires plus où moins large. Quoi qu'il en soit il ne m'ont pas beaucoup profités, c'est surtout la voiture qui à bu le gasoil pour faire tous les jours ou presque la trentaine de kilomètre aller et pareil en retour. Je faisais un gros paquet d'heures parce que je devais travailler du lundi au samedi de 10h à environ 18h mais aussi un dimanche sur deux de 14h à environ 18h.

    Fort heureusement pour moi je n'étais pas tout seul pour faire ca, j'étais en duo avec une étudiante plutôt sympa qui avait occupé le poste l'été dernier. Elle avait passé son année en prépa MPSI, ou un truc du genre, à La Rochelle et, à l'entendre, elle avait passé plus de temps dans un bar servant un alcool local qu'en cours. Ca revenait toujours dans ses propos dès qu'on parlait de vécu, c'était un peu lassant. Un truc qui revenait souvent sur la table aussi c'est que son pc portable était, à ses dires, doté d'une super carte vidéo donc qu'il pourrait faire tourner les logiciels d'architecture qu'elle découvrirais dans sa nouvelle école de Strasbourg puisqu'elle lâchait la prépa où elle était dans les dernières de la classe. Je me gardais bien de donner mon avis sur son pc et son école car sinon je prenais le risque de l'entendre me sortir son argument massue (pour Lego) "de toute façon j'ai toujours raison". A la réflexion j'aurais préféré ca que l'entendre me raconter que son petit frère est un con et qu'il ne sait pas conduire, que son père est casse pieds et que sa grand-mère (la famille vit chez elle) est une emmerdeuse, pour sa mère ça allais à peu près. A tout cela il faut rajouter toutes ces aventures pseudo-sentimentales et l'épuisement de son crédit de portable au moins une semaine avant le renouvèlement.
    Mais alors comment puis-je écrire qu'elle était plutôt sympa ? Tout simplement grâce à mon expérience acquise avec mon dédain de ce qui est à la mode et m'a permis de construire un bouclier anti djeuns-in-the-mouve faisant que tout ces propos me passaient au minimum à 4 kms du cerveau. Non, je déconne !!!
    Il se trouve qu'elle était simultanément :
    - fan de Star Wars (peut être pas pour les mêmes raisons que moi), lectrice du magazine officiel de la saga et qu'elle a fait du thème principal sa sonnerie de portable.
    - fan de Disney au point de connaitre les chansons par coeur (en mp3 dans son pc) et d'avoir la musique de la séquence générique (avec le chateau qui s'illumine) en avertisseur d'arrivée de sms.
    - connaisseuse de Pulp Fiction (dont LE passage musical est la sonnerie de quand ses parents appellent), peut être pas de tout le film mais c'est déjà un début.

    Ce qu'il y avait de sympa aussi c'est que la famille de la patronne venait et on mangeaient tous ensemble à midi, on pouvait discuter entre les visites s'il n'y avait personne et même boire des coups à l'œil (le diabolo était LA boisson de la fin de journée)

    Pour ce qui est de la fréquentation c'étais assez variable, j'ai toutefois noté que les clients viennent surtout par temps extrêmes (chaud ou pluie). Certaines journées étaient particulièrement plates. Cela m'a permis de relire les deux tomes des réquisitoires des flagrants délires mais aussi et surtout les six premiers tomes de Harry Potter,

    Pour le fun le dernier jour j'ai amené mon sabre laser pour voir ce que cela donne, le résultat est en deux mots : super bien. J'ai regretté qu'elle ne soit pas venu avec moi pour que l'on fasse un mini combat.

  • Un mois sur Toulouse

    Depuis le 26 avril il s'est passé plein de truc dont notamment une formation pour le CSS, des sorties avec des potes tout frais tout neufs, un passage au ciné et un coup de Taxi. Plus de détails bientôt sur cette même page ou répartie sur plusieurs crées pour l'occasion tellement j'ai de trucs à dire. Y aura aussi peut être un nouvel album photo.

  • la communauté du BTS

    Par moment je cherchais des trucs pour fédérer numériquement notre petit groupe d'amis issu du BTS et je ne voyais pas comment faire vu que les fonctions qui me semblaient intéressantes étaient reparties sur plusieurs logiciels. Je viens d'avoir une idée super, faire une place sur ce blog pour qu'en plus d'être le mien rien qu'à moi ce soit aussi celui de tous les groupes sociaux dont je fais partie. Il y a une fonction qui convient tout a fait sur cet espace, le blog à sa propre adresse mail, vous écrivez un mail classique et si vous l'envoyez à cette adresse précise l'objet deviens le titre de la note et le corps du message le contenu de la note. Pour ce qui est des fichiers joints je sais pas ce qu'il deviennent mais je trouverai bien. Cette idée est aussi valable pour tous les groupes auxquels je ne pense pas, n'hésitez pas à me faire part de vos idées, lecteurs inconnus. Pour départager mes messages privés et ceux de la communauté il suffit d'établir une convention dans le titre. Qu'en pensez vous ? Je préfère vous avertir avant que si l'idée se concrétise je vous demanderai une participation financière minime (voire symbolique) puisque Blogspirit est une plateforme payante.

    Mise à jour du 4/09/07
    Le blog étant désormais hébergé sur une plate-forme gratuite il n'ai même plus question de mettre la main à la poche.

  • Ya des jours comme ca

    Aujourd'hui je suis allé, comme toute les semaines, à la maison de la promotion sociale. C'est l'anpe qui m'envoie la bas parce que le suivi y est plus régulier. Concrètement je n'y fais pas grand chose de plus que quand je cherche à la maison mais le brainstorming collectif permet de trouver de nouvelles pistes. Et bien ce jour là n'est definitivement pas comme les autres puisque j'ai recu un appel qui me confirme que j'ai du travail pour cet été en juillet et en août. Ce sera aux grottes de lastournelles, un petit site sans prétention près de Villeneuve sur lot. Si le coeur vous en dit faites le trajet pour venir me voir vous éviterez la chaleur estivale pendant au moins une heure. Le rendez-vous d'il y a deux semaines à porté ses fruits et la décision était en suspens mais je le sentais bien. Il ne reste plus qu'a trouver du travail pour avant et surtout après en tenant compte de celui que j'ai déjà, quelque chose me dit que cela ne va pas être facile.

    Dans un autre domaine ce jour est également a marqué d'une pierre blanche sur le calendrier puisque je me suis résolu à ne plus dépenser inconsidérément l'argent que j'ai mis tant d'années à accumuler. En effet ma collection d'objets Star Wars compte, je pense, déjà pas mal d'objets assez intéressants pour un constitution aussi récente. A titre d'exemple je vous laisse imaginer (ou cauchemarder) combien m'a couté la pré-série d'un objet limité à seulement mille exemplaires.

  • boost pour le moral

    Voila un petit bout des intenses échanges de mails que j'ai avec ma petite soeur, elle écrivait que son concours elle allait peut être bien finalement le réussir puisqu'elle venait d'être propulsée pseudo-major de promo de par sa première place à un concours blanc. Je lui ai donc écris le message suivant :


    "Je viens de lire ton message en speed avant d'aller me coucher [il était environ 2h du mat'], je tiens à réagir en QUATRE points.
    UN : J'avais répondu à ton dernier message, j'en suis presque sûr.
    DEUX : Comme dit Morpheus on n'est pas le meilleur quand on le croit mais quand on le sait. Pour moi il ne fait aucun doute que tu as toutes tes chances de passer ce concours et de le réussir. J'admire ton courage, ta ténacité et ta pugnacité dans ce redoublement auquel j'aurais encore moins fais face que la première année de n'importe quelle prépa de France et de Navare. Comme je ne connais pas les autres élèves de ta classe à mes yeux tu es forcement la meilleure, ta balézitude est telle qu'elle rend les autres quasi inexistants, le peu qu'il en reste ne sert qu'à te mettre en valeur.
    TROIS : Courage ma grande!!! TU VAS TOUS LES POURRIR !!!!!!!!!!!!!!!!!

    BBBB (Bigs bisoux bien baveux)

    l'EDC (Empereur Dirigeant Chef) de ton fan club Gabriel
    Ton super rêveur tête en l'air favori Gabriel
    Ton crétin (entre autres maux) de grand frère et aussi ton frère Gabriel "


    voila la réponse que j'ai recu :

    "alors là il déchire ton message dommage que j'aie le temps de le lire que maintenant. je te remercie du fond du coeur t'es génial là je me sens bien et je me sens épaulée depuis le temps que j'ai l'impression de me battre
    toute seule et loin de vous. Je suis super contente tu m'a mis en super forme. je vais de ce pas me remettre au boulot... bisous tout plein mon cher frère pas si crétin que ça (si si je t'assure...)"

    Je m'étonne de voir ma soeur écrire que "ca déchire" mais néanmoins ca fait plaisir de savoir qu'on sert à quelque chose rien qu'en écrivant le fond de sa pensée en pensant au passage à faire des belles phrases et à saupoudrer le tout de franche déconnade. Je ne sais pas exactement d'où vient cet effet qu'elle à ressenti et elle ne l'a peut être pas cherché mais si vous avez des idées sur le sujet n'hésitez pas à en faire part à mon lectorat.


    Cette histoire me rappelle le jour où à l'occasion d'une pause pendant un cours de BTS, en droit si je me souviens bien, j'ai écris sur le tableau "pourquoi ?" (guillemets inclus). C'était là la totalité de l'intitulé d'un sujet de philo à propos duquel Coline n'avait pas manqué d'écrire à toute la famille pour avoir des idées.
    La réponse que j'avais faite était à mon gout assez cocasse et si cela vous intéresse ce sera l'objet d'une prochaine note.

  • et pourquoi pas vous ?

    Aujourd'hui j'ai recu un nouvel objet pour ma collection Star Wars. Comme il fallait une signature à la réception la postière est revenue exprès à une heure où elle est sûre de trouver quelqu'un; celle du repas. Soit dit en passant c'est pas en ville qu'on a des services comme ca à mon avis. Au cours du repas la conversation s'est axée sur ce colis qui constitue une preuve de ma légère folie dépensière pour cet univers riche (mais pas pour mes finances) de nombreux objets de printemps, d'automne, d'été, d'hiver et variés. Maman à suggérée que si c'est un domaine qui me plais tant je n'ai qu'à en faire mon gagne pain. J'en suis donc venu à exposer l'idée qui me traine dans la tête depuis maintenant un petit moment ; celle d'ouvrir un espèce de musée sur le sujet ou alors un espace où chacun pourrait exposer sa collection sur son sujet de prédilection. Vous en pensez quoi ?

  • d'une pierre deux coups

    Aller retour en un jour à Toulouse pour deux raisons diverses, maman devait se rendre avec Mamie et Freddie à l’enterrement d’un cousin de la famille. Moi j’avais rendez-vous au CFATB (Centre de Formation Aéronautique de Toulouse Blagnac) pour discuter de mon admission aux cours théoriques pour le CSS (Certificat de Sécurité et de Sauvetage). Ah oui tiens ! je vous l’avais pas encore écris mais je suis sur la bonne voie pour concrétiser ce vieux rêve de devenir steward. J’ai trouvé sans difficultés majeures et je suis donc arrivé avec une bonne avance puisque le périph’ était moins encombré que prévu. L’entretien s’est bien passé et j’ai été admis aux cours mais cela s’annonce ardu. Heureusement que j’ai déjà récupéré les cours de quelqu’un qui à passé l’examen il y à environ dix ans. Après ca je suis retourné chez Mamie où j’ai attendu un long moment mais j’ai fais avec malgré une petite angoisse au bout d’un moment. Quand on est parti il faisait nuit mais j’ai quand même reconnu une Corvette alors qu’elle nous doublait sur l’autoroute. On l’a doublé à notre tour un peu avant d’arriver sur Agen.

  • C'est reparti pour un tour

    Il y a de ça deux petites semaines j'ai été contacté par le responsable du recrutement d'un hôtel du groupe Accor, cette fois c'est le Mercure de Roissy-en-France. Comme pour l'évènement pas du tout attendu je n'ai rien eu à faire pour être convoquée en entretien. Cette fois j'ai eu plus de temps pour faire mes démarches auprès de l'anpe et de la sncf (va t'en savoir pourquoi cette fois la réservation m'a couté environ trois fois moins cher). J'ai toutefois eu une complication jusqu'ici inédite.
    Encore une fois je me suis levé à pas d'heure pour aller prendre le train à Agen. Cette fois ci j'étais potentiellement à l'heure mais c'est la neige qui a failli me ralentir, j'ai fait une confiance peut être excessive à ma voiture et à mes capacités de "ice-driver" (je fais pas le trophée Andros mais bon!) pour arriver en vie ce qui fut le cas. Le trajet en train s'est fait sans souci, je ne dormis pas beaucoup car je fus sans doute un des seuls à le vouloir. Tous les autres passagers avaient les rideaux ouverts. Au bon d'un moment je finis par renoncer à rencontrer Morphée. A la place je me contente de regarder le paysage immuablement blanc tout en écoutant le contenu du baladeur qu'Etienne m'a prêté. J'arrive directement à l'aéroport Charles de Gaulles et me voila perdu dans cette mini-ville pour trouver la navette qui doit me mener directement à mon lieu de rendez-vous. Finalement après un circuit dans la jungle urbaine qui entoure l'aéroport j'arrive avec une bonne avance à l'hôtel. Comme j'avais quasiment rien dans le ventre je suis allé vers le centre ville pour acheter de quoi me sustenter. J'ai vite mangé en essayant d'être à l'abri du vent mais c'était assez dur. Soucieux de savoir qu'est ce que j'avais bien pu faire de mon bonnet, sur lequel je ne parvenais pas à mettre la main depuis la sortie du train, j'ai téléphoné à la maison pour savoir si je ne l'y avais pas laissé mais je n'ai eu qu'une réponse évasive. Pour tuer le temps j'ai fait un tour à l'office de tourisme, minuscule, où j'ai constaté que l'aéroport est à l'aise aussi grand qu'un quart de Paris intra-muros. Le rendez vous en lui même c'est bien passé, je pense pas avoir fait de fautes majeure, d'ailleurs à la traditionnelle question "Vous avez des questions ?" je lui ai demandé et la responsable m'a répondu que non. Après le rendez-vous je suis retourné à l'aéroport puisque j'avais convenu avec Cécile et Olivier que je les attendrais là. J'ai attendu le plus possible au chaud et les dernières minutes à l'entrée d'un "dépose- minute" qui est sans doute un des parking les plus chers de France, si les 10 premières minutes sont offertes en revanche le fait de rester plus d'une heure coute 66 euros (soixante-six €) dingue non !?.

    En arrivant sur Meaux nous somme allés directement à la gare routière pour trouver les horaires du bus du lendemain. Ensuite nos sommes enfin arrivé à l'appart' dont j'ai rapidement fait le tour. J'ai téléphoné à maman pour lui raconter ma journée, cela à donné lieu à la photo qui illustre cette note. 2aa3ee6c63529d492893b8729b39d9cd.jpg
    J'ai exploré la mediathèque pendant qu'Olivier et Cécile étaient dans leur bureau. Nous avons bien mangé et au passage testé les pains faits maisons, c'était pas mal mais un peu à revoir sur le plan du dosage des épices. Ensuite Cécile a fait de la place pour pouvoir installer le lit gonflable, un truc qui ressemble à un banal matelas pneumatique sauf qu'il y a un gonfleur électrique intégré et qu'au final ça mesure dans les quarante centimètres d'épaisseur. Comme j'ai fondu à la vue des magnets Star Wars sur le frigo Cécile m'a passé ses doubles, super sympa de sa part!!

    La journée du lendemain à commencée un peu avant le lever du jour. J'ai été déposé à la gare routière pour prendre le bus jusqu'à l'aéroport. Au niveau de la gare RER j'ai pris la navette interne du site qui m'a finalement amené là même où j'ai découvert même pas 24 heures auparavant qu'il y a un ciel au dessus des cinq niveaux de cet aéroport. Rien qu'en descendant un escalier je suis passé du domaine aérien à celui du rail. Sur les quais l'air était glacial, il faut dire que la structure longiligne des lieux n'aide pas vraiment, mais j'y ai mieux fait face que le couple qui m'a dit revenir des îles. Le trajet en train était sans histoire et je suis rentré chez moi pour attendre la réponse.


    Au final le poste à été attribué à quelqu'un qui a plus d'aptitudes pour le métier. La personne que j'ai rencontré en entretien devait me rappeler mais elle ne l'a pas fait. Quand j'ai appelé pour avoir des nouvelles je suis tombé sur le supérieur hiérarchique qui m'a dit que c'était étonnant et pas dans les habitudes de son personnel.
    Pour ce qui est du bonnet je n'ai pas pu remettre la main dessus. Mon impression qu'il est tombé de ma poche quand je me suis levé de ma place de train me semble l'explication la plus probable. Je l'ai donc à contre-coeur remplacé par un bonnet d'une couleur approchante mais où à la place du sympathique bouledogue trône le logo de la marque aux trois bandes.
    Comme je ne pouvais pas supporter l'idée de n'avoir qu'une partie de la collection des magnets je l'ai finalement achetée en entier à un particulier, du coup maintenant je sais pas quoi faire de ceux que m'a donné Cécile. J'ai aussi décidé de ne pas inclure dans ma collection des objets "promotionnels", qui portent une marque en plus du logo de la saga.

  • Même le courrier se lève tôt

    La boite des Durand prend forme, je participe un peu. Si je devais monter la mienne cela pourrait être du service postal vu que la levé est à 14h45 dans mon bled. Je trouve que cela fait un peu tôt, pas vous ? La société historique perd son monopole bientôt. Va falloir que je réfléchisse à la chose.

  • Retour à la case de Paris

    Lever super tôt (3h30) et dans l’urgence, à peine le temps d’avaler un biscuit et me voila au volant de la voiture en direction de la gare d’Agen, je roule un brin trop vite car si je rate mon train je suis dans la ...... Finalement j’arrive à temps pour monter dans le TER jusqu’à Bordeaux où je change sans problème. Je réussis à dormir pendant le trajet, sans doute parce que ca bouge nettement moins. En arrivant à Montparnasse je fais un peu de tourisme en m’extasiant devant la tour du même nom puis je plonge dans le métro après avoir acheté un carnet entier de tickets histoire d'être sûr d'en avoir assez. En parfait touriste et éternel gamin je suis fou de joie quand la Tour Eiffel pointe le bout de son antenne au dessus des toits. Comme le hasard fais bien les choses mon métro traverse la Seine en aérien et je prends au passage une super photo de la tour à Gustave. Après mon cliché je passe instantanément de l'état de touriste parfait à celui de parisien blasé en demandant à quelqu'un à coté de qui je cherche à m'assoir: "Vous descendez à l'étoile?". J’arrive finalement à la Défense et je suis rassuré puisque j’ai repéré le bâtiment en arrivant, pas dur, c’est un des premiers, juste sur le bord de Seine. Je me recoiffe une dernier coup (si, je vous jure) et serre ma cravate puis passe l’entretien avec plus ou moins de décontraction. Je sais que je n’ai pas été parfait mais de toute façon c’est trop tard pour changer quelque chose, la réponse quelle qu’elle soit arrive en fin de semaine ou début de semaine prochaine. Après tout ce stress je décompresse un bon coup en me promenant dans la Défense où je suis surpris de trouver des habitations, un centre commercial et un musée traitant étonnamment de la construction de… la Défense. Je me fais raconter les actions d’une ONG genre médecins du monde par une jeune fille visiblement heureuse de trouver quelqu’un qui à du temps pour l’écouter et qui plus est le demande. La sirène hurle midi à tous ceux qui sont là et même à ceux qui ne veulent pas entendre. Dans le CNIT je fais une vidéo sans me rendre compte que je suis sous un Hilton, je rentre à la Fnac juste à coté et trouve pleins de trucs chouette (BDs, livres, DVDs…) mais je ne mémorise en fait que peu de noms. Ce n’est qu’en sortant du bâtiment que je me rends compte que les poignées des portes ont la même forme que le toit. Je redescends vers le petit snack que j’avais remarqué pour prendre une pose repas. Après ca je me décide à aller à l’arc de triomphe mais en métro parce que ca fait loin à pied. Je prends quelques photos du monument dont certaines en m’arrêtant au milieu des passages piéton en bout d’avenues. Je me rends à l’office de tourisme et constate qu’à la place se trouve un magasin Lancel (bin zut alors mon plan est trop vieux !) Sur la façade je note une affiche qui donne envie d’être plus souvent à la Concorde à 5 h du mat’ puisqu’ Alice Taglioni (mais cette blonde quelle pute ! pas vrai jéjé ?) et Laurent Manaudou font mumuse dans une fontaine de la place de La Concorde. Quelques minutes plus tard je suis moi-même à la Concorde et prends en photo l’obélisque et son chapeau décoré à la feuille d’or. Ils sont fous ces égyptiens de construire des trucs pareils, mais le plus con c’est quand même Napoléon il aurait pas pu ramener une pyramide plutôt !!
    Face à la profusion de sites à proximité je fais au feeling et j’ai donc vu pris en photo ; les bateaux mouches, la tour Eiffel, l’hôtel des invalides, le grand palais, une statue de Simon Bolivar (spécial dédicace aux hispanophones), une de ce grand homme que fut Winston Churchill, quelques célébrités que j’ai reconnu cette fois, la Madelaine, la colonne Vendôme, une statue de Maillol (spécial dédicace aux perpignanais) et enfin le Louvre pour finir l’axe historique.
    Je me résouds à prendre la direction de la gare car le temps passe et accessoirement j’ai mal aux pieds, grâce à ma curiosité je trouve l’entrée de la station de métro et c’est en chemin que je comprends d’où vient le nom de Montparnasse Bienvenü.
    Cette fois encore je n’ai pas eu le temps d’aller jusqu'à Grévin pour trouver Marina, la prochaine fois sera la bonne.
    Vous pensez que mes péripéties se terminent ainsi ? Que nenni ! Car après avoir fini par comprendre la logique SNCF et pris la bonne moitié de mon train à Paris je suis perdu dans la gare de Bordeaux pour trouver la suite de mon trajet. Je repère le tableau d’affichage au bruit caractéristique des palettes qui tournent (dommage qu’ils soient supprimés bientôt) et comme mon train n’y est pas je fais la queue au guichet en dessous. Après de longues minutes d’attentes j’apprends que mon train est annulé et on m’envoie ailleurs pour savoir où est le bus qui le remplace. Les indications du bureau que je finis par trouver sont assez floues mais j’utilise mon instinct par trouver les bus devant lesquels attend une petite foule. Pas beaucoup d’infos jusqu’au minutes avant le départ alors je discute avec ceux qui comme moi sont dans l’expectative. Finalement le bus part, avec un peu de retard sur l’horaire du train, pour Marmande en prenant l’autoroute. Les télés à bord reproduisent l’affichage du GPS du chauffeur, c’est sympa comme appareil mais pas indispensable selon moi surtout que l’appareil se trompe à l’entrée de la ville, c’est sans doute pourquoi le chauffeur l’éteint. Pas vraiment de soucis jusqu'à Agen où je retrouve la Kadettmobile pour revenir à la maison où je me couche en réussissant à ne pas réveiller mes parents !!

    Les photos sont visibles en cliquant sur l'image qui suit pour avoir une animation sympa style album à pages. Pour profiter des titres, commentaires et un plus grand format il vous faut aller dans l'album photo correspondant ou mieux encore en demandant les fichiers d'origine à Gaby.

  • Mieux qu'un cachet d'aspirine

    C’est l’effervescence ce lundi matin, je me suis levé pour je ne sais plus quelle raison et je m’apprête à me recoucher, vu que je suis allé au lit vers 2h30 du mat, quand soudain mon portable sonne. A l’autre bout du fil, celui de la France ou presque, à la Défense on aurait besoin de moi. Mon C.V. a effectivement circulé dans les mains de responsables d’hôtels Accor puisque c’est dans un Novotel que je suis attendu dès mercredi. L’après-midi même je me suis rendu à l’anpe pour faire établir un bon de transport puis à la gare pour prendre mes billets, les trajets que j’avais pris la dernière fois étant déjà complets j’en ai prends à d’autres horaires mais déjà la journée s’annonce longue.

  • 1300 kms en 17h

    Je me suis levé à 5h du matin pour aller prendre le train à la gare d’Agen. Quelques heures plus tard, dont une partie à dormir, me voilà à Paname en train d’essayer de trouver le bon train pour aller à Versailles. Ayant réussi à descendre à la bonne gare (yana 5) dans ce qui fut la campagne parisienne et à finalement trouver les bons arrêt où monter et descendre du bus je suis arrivé à mon entretien d’emploi avec une bonne heure d’avance. J’en ai profité pour soigner mon look une dernière fois. Pendant l’entretien la recruteuse m’a sentie motivée mais elle a soufflée autant le chaud que le froid. Je sens que ca va finir par une réponse négative mais elle a insisté sur le fait qu’elle transmettrait mon CV et elle l’a vraiment fait, j’ai été recontacté et ca peut mener à quelque chose même si j'ai eu un mal fou à joindre la personne en question, personne ne semblait la connaître au numéro qu’elle m’avait laissée. En sortant de l’entretien je suis allé à la Fnac à coté où j’ai lu le nouveau Titeuf « mes meilleurs copains » que je vous conseille. Sur le retour vers la gare j’ai remarqué les mêmes monuments qu’à l’aller ; la place du marché, celle de la loi et le château au bout du boulevard. J’aurais bien pris des photos mais mon appareil n’a pas voulu s’allumer. Je me suis accordé un peu de temps à la gare pour manger un sandwich et une part de gâteau. J’ai réussi à revenir à Montparnasse sans difficulté puis je me suis immédiatement mis à la recherche de mon TGV en chemin j’ai croisé un groupe étrange comportant un mec au visage vaguement familier et face à lui une caméra, risquant le tout pour le tout je lui demande si c’est quelqu’un de connu, il me répond que non mais j’insiste puis ayant autre chose à faire je m’en vais persuadé qu’il me prend pour un con.
    Ce n’est qu’en arrivant vers Bordeaux que je me suis rendu compte, avec une quasi-certitude, que j’ai parlé à Manu Katché, un des plus grand batteur du monde si ce n’est le meilleur. Je finirais par en avoir un d’autographe de célébrité, c’est la deuxième personnalité que je croise sans la reconnaitre. Avant de partir j’avais prévu d’aller à la rencontre de Marina mais je n’en ai pas eu le temps. De toute façon elle m’a informé après coup qu’elle n’était pas sur Paris ce jour-là. Ce n’est que partie remise. Quand je retournerais dans cette « banlieue merdique » j’espère que j’aurais plus de temps pour faire du tourisme et rencontrer les habitants que je connais. Je suis arrivé quelques secondes trop tard à la maison pour entendre le passage de dialogue que je préfère dans ce très beau film qu’est « Le bonheur est dans le pré » :

    "- mais pourquoi vous ne l'avais jamais dit ?
    - bin parce qu'on ne me l'a jamais demandé!"

  • Chomdu

    C’est difficile à avouer mais ca devait bien finir par arriver, je suis officiellement au chômage. A moi les joies des démarches administratives, leurs lenteurs parfois excessives, leurs doublons, jargons, complications, redirections… Tout ceux qui sont déjà passés par là savent de quoi je parle. Pour les autres ne vous en faites pas et réjouissez vous du jour où à la fin de votre vie professionnelle vous vous rendrez compte que vous n’avez jamais eu à le faire.

  • Retour aux pommiers

    Ya encore du boulot pour un long moment, c’est le banquier qui va être content. Cette fois je ne fais plus dans la pose de filets; c'est la récolte avec plusieurs variétés au programme. Parmi celles-ci une bicolore dont il assez compliqué de se mettre dans l'œil les caractéristiques parfaites vu que la luminosité ambiante n'est pas toujours la même.
    Deuxième point embêtant avec les pommes c'est la fragilité; tous les crétins que vous voyez dans les supermarché qui appuient comme des mules sur les fruits ou les employés de rayons qui vident les fond de plateaux en le renversant pour faire des pyramides de fruit (comme si c'était des Ferrero Rocher) sont des abrutis.
    Troisième et dernier point c'est l'exigence du consommateur, cela m'a obligé à redevenir membre de ce que j'appelle avec amusement "la secte des calibreurs". On avait tous un instrument fait maison qui ressemblait un peu à un but de Quidditch pour savoir si un fruit est assez gros (il ne passe pas à travers le cercle) pour mériter qu’on le cueille. Rien d’extraordinaire jusque là me dirais-vous ! Le truc c’est que l’objet ne se range pas dans une poche mais il est suspendu autour du cou grace à un collier en caoutchouc, lui aussi fait maison, et de ce fait on l’a toujours avec soi comme si c’était un bijou précieux ou un signe d’appartenance à un groupuscule obscur.

  • La suite de l’événement pas du tout attendu

    Bien que m’ayant senti intéressé, elle me l’a dit lors de l’entretien, la responsable du recrutement ne m’a jamais recontacté et les relances n’y ont rien fait. En clair je n’ai pas eu de réponse, même pas un non. Je trouve que c'est un maque de respect pour un candidat motivé et qui vient de loin, mais bon, le marché du travail est vraisemblablement plus souvent une jungle qu'une place civilisée.

  • L’évènement pas du tout attendu

    Le vendredi précédent alors que j’étais en train de faire mon boulot en plein air j’ai reçu un coup de fil mais comme j’ai pas une minute à moi, que je travaille avec un bruit de fond permanent assez élevé, que la machine vibre beaucoup et que je n’ai pas mon portable dans ma poche ; je n’ai rien entendu. Ce n’est qu’une fois que j’ai été au calme que j’ai consulté mon répondeur, et là je n’ai pu qu’être surpris. Une personne qui m’appelle pour me dire que le dossier que j’ai déposé sur un site web l’intéresse et qu’elle veut me rencontrer, alors même que je n’ai répondu à aucune annonce. J’ai téléphoné au numéro donné le soir même et comme l’entretien devait avoir lieu à Nîmes mes géniales circonvolutions cérébrales n’ont pas mis longtemps pour élaboré le plan consistant à profiter du mariage à Perpignan pour me rendre à la préfecture du Gard le mardi suivant.

  • Youpi un diplôme

    Comme tout les élèves de la classe j’ai reçu mes notes et je vous en donne le détails. Je laisse chacun de vous imaginer la raison qui me pousse (mais pas très fort) à vous les révéler.
    Français : 6,5
    Español : 10
    Anglais : 13
    Analyse de l’espace territorial : 11
    Economie et droit appliqués au tourisme : 10
    Etudes d’opérations touristiques : 11.5
    Projet et actions touristiques : 9
    Option patrimoine culturel régional touristique (Aquitaine) : 11

    Quand je pense à l’assiduité que j’ai déployé dans certains cas je trouve bizarre d’avoir eu le bts alors que d’autres ne l’ont pas eu. Dois y avoir quelque part une commission de régulation qui à arrondi tout ca pour faire en sorte que je l’ai ce diplôme.

  • Travail à l’air libre

    A l’insistance de ma mère, j’ai quitté Perpignan pour prêter main forte sur l'expoitation familiale et il y en avait bien besoin. Avec l’apprenti de papa on à mis au moins une semaine à démonter buche par buche les petits tas de bois accumulés le long des rangées pour les jeter avec fracas dans une benne. Si vous aviez été là vous auriez pu noter avec quel flegme on le faisait et la poésie qu’il s’en dégageait. C’était émouvant (rires) au début mais après on pensait surtout que ca faisait mal au dos. On a formé au final un tas d’un petit paquet de mètre cube de bois qui va bruler dans la cheminée les hivers prochains. A tout malheur quelque chose est bon. Immédiatement après cela j’ai enchainé sur un autre job, la pose de filets para grêle au dessus des pommiers qui n’en étaient pas encore équipés. Avant d’aller plus loin je précise que l’on mets de tels filets dans le but de s’éviter de payer des assurances aux tarifs astronomiques. La récolte de l’année était fichue à cause du coup de vent du 4 juillet car cela aurait été trop beau si la grêle ne s’y était pas mêlée pour amocher les fruits.