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C'est reparti pour un tour

Il y a de ça deux petites semaines j'ai été contacté par le responsable du recrutement d'un hôtel du groupe Accor, cette fois c'est le Mercure de Roissy-en-France. Comme pour l'évènement pas du tout attendu je n'ai rien eu à faire pour être convoquée en entretien. Cette fois j'ai eu plus de temps pour faire mes démarches auprès de l'anpe et de la sncf (va t'en savoir pourquoi cette fois la réservation m'a couté environ trois fois moins cher). J'ai toutefois eu une complication jusqu'ici inédite.
Encore une fois je me suis levé à pas d'heure pour aller prendre le train à Agen. Cette fois ci j'étais potentiellement à l'heure mais c'est la neige qui a failli me ralentir, j'ai fait une confiance peut être excessive à ma voiture et à mes capacités de "ice-driver" (je fais pas le trophée Andros mais bon!) pour arriver en vie ce qui fut le cas. Le trajet en train s'est fait sans souci, je ne dormis pas beaucoup car je fus sans doute un des seuls à le vouloir. Tous les autres passagers avaient les rideaux ouverts. Au bon d'un moment je finis par renoncer à rencontrer Morphée. A la place je me contente de regarder le paysage immuablement blanc tout en écoutant le contenu du baladeur qu'Etienne m'a prêté. J'arrive directement à l'aéroport Charles de Gaulles et me voila perdu dans cette mini-ville pour trouver la navette qui doit me mener directement à mon lieu de rendez-vous. Finalement après un circuit dans la jungle urbaine qui entoure l'aéroport j'arrive avec une bonne avance à l'hôtel. Comme j'avais quasiment rien dans le ventre je suis allé vers le centre ville pour acheter de quoi me sustenter. J'ai vite mangé en essayant d'être à l'abri du vent mais c'était assez dur. Soucieux de savoir qu'est ce que j'avais bien pu faire de mon bonnet, sur lequel je ne parvenais pas à mettre la main depuis la sortie du train, j'ai téléphoné à la maison pour savoir si je ne l'y avais pas laissé mais je n'ai eu qu'une réponse évasive. Pour tuer le temps j'ai fait un tour à l'office de tourisme, minuscule, où j'ai constaté que l'aéroport est à l'aise aussi grand qu'un quart de Paris intra-muros. Le rendez vous en lui même c'est bien passé, je pense pas avoir fait de fautes majeure, d'ailleurs à la traditionnelle question "Vous avez des questions ?" je lui ai demandé et la responsable m'a répondu que non. Après le rendez-vous je suis retourné à l'aéroport puisque j'avais convenu avec Cécile et Olivier que je les attendrais là. J'ai attendu le plus possible au chaud et les dernières minutes à l'entrée d'un "dépose- minute" qui est sans doute un des parking les plus chers de France, si les 10 premières minutes sont offertes en revanche le fait de rester plus d'une heure coute 66 euros (soixante-six €) dingue non !?.

En arrivant sur Meaux nous somme allés directement à la gare routière pour trouver les horaires du bus du lendemain. Ensuite nos sommes enfin arrivé à l'appart' dont j'ai rapidement fait le tour. J'ai téléphoné à maman pour lui raconter ma journée, cela à donné lieu à la photo qui illustre cette note. 2aa3ee6c63529d492893b8729b39d9cd.jpg
J'ai exploré la mediathèque pendant qu'Olivier et Cécile étaient dans leur bureau. Nous avons bien mangé et au passage testé les pains faits maisons, c'était pas mal mais un peu à revoir sur le plan du dosage des épices. Ensuite Cécile a fait de la place pour pouvoir installer le lit gonflable, un truc qui ressemble à un banal matelas pneumatique sauf qu'il y a un gonfleur électrique intégré et qu'au final ça mesure dans les quarante centimètres d'épaisseur. Comme j'ai fondu à la vue des magnets Star Wars sur le frigo Cécile m'a passé ses doubles, super sympa de sa part!!

La journée du lendemain à commencée un peu avant le lever du jour. J'ai été déposé à la gare routière pour prendre le bus jusqu'à l'aéroport. Au niveau de la gare RER j'ai pris la navette interne du site qui m'a finalement amené là même où j'ai découvert même pas 24 heures auparavant qu'il y a un ciel au dessus des cinq niveaux de cet aéroport. Rien qu'en descendant un escalier je suis passé du domaine aérien à celui du rail. Sur les quais l'air était glacial, il faut dire que la structure longiligne des lieux n'aide pas vraiment, mais j'y ai mieux fait face que le couple qui m'a dit revenir des îles. Le trajet en train était sans histoire et je suis rentré chez moi pour attendre la réponse.


Au final le poste à été attribué à quelqu'un qui a plus d'aptitudes pour le métier. La personne que j'ai rencontré en entretien devait me rappeler mais elle ne l'a pas fait. Quand j'ai appelé pour avoir des nouvelles je suis tombé sur le supérieur hiérarchique qui m'a dit que c'était étonnant et pas dans les habitudes de son personnel.
Pour ce qui est du bonnet je n'ai pas pu remettre la main dessus. Mon impression qu'il est tombé de ma poche quand je me suis levé de ma place de train me semble l'explication la plus probable. Je l'ai donc à contre-coeur remplacé par un bonnet d'une couleur approchante mais où à la place du sympathique bouledogue trône le logo de la marque aux trois bandes.
Comme je ne pouvais pas supporter l'idée de n'avoir qu'une partie de la collection des magnets je l'ai finalement achetée en entier à un particulier, du coup maintenant je sais pas quoi faire de ceux que m'a donné Cécile. J'ai aussi décidé de ne pas inclure dans ma collection des objets "promotionnels", qui portent une marque en plus du logo de la saga.

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