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1300 kms en 17h

Je me suis levé à 5h du matin pour aller prendre le train à la gare d’Agen. Quelques heures plus tard, dont une partie à dormir, me voilà à Paname en train d’essayer de trouver le bon train pour aller à Versailles. Ayant réussi à descendre à la bonne gare (yana 5) dans ce qui fut la campagne parisienne et à finalement trouver les bons arrêt où monter et descendre du bus je suis arrivé à mon entretien d’emploi avec une bonne heure d’avance. J’en ai profité pour soigner mon look une dernière fois. Pendant l’entretien la recruteuse m’a sentie motivée mais elle a soufflée autant le chaud que le froid. Je sens que ca va finir par une réponse négative mais elle a insisté sur le fait qu’elle transmettrait mon CV et elle l’a vraiment fait, j’ai été recontacté et ca peut mener à quelque chose même si j'ai eu un mal fou à joindre la personne en question, personne ne semblait la connaître au numéro qu’elle m’avait laissée. En sortant de l’entretien je suis allé à la Fnac à coté où j’ai lu le nouveau Titeuf « mes meilleurs copains » que je vous conseille. Sur le retour vers la gare j’ai remarqué les mêmes monuments qu’à l’aller ; la place du marché, celle de la loi et le château au bout du boulevard. J’aurais bien pris des photos mais mon appareil n’a pas voulu s’allumer. Je me suis accordé un peu de temps à la gare pour manger un sandwich et une part de gâteau. J’ai réussi à revenir à Montparnasse sans difficulté puis je me suis immédiatement mis à la recherche de mon TGV en chemin j’ai croisé un groupe étrange comportant un mec au visage vaguement familier et face à lui une caméra, risquant le tout pour le tout je lui demande si c’est quelqu’un de connu, il me répond que non mais j’insiste puis ayant autre chose à faire je m’en vais persuadé qu’il me prend pour un con.
Ce n’est qu’en arrivant vers Bordeaux que je me suis rendu compte, avec une quasi-certitude, que j’ai parlé à Manu Katché, un des plus grand batteur du monde si ce n’est le meilleur. Je finirais par en avoir un d’autographe de célébrité, c’est la deuxième personnalité que je croise sans la reconnaitre. Avant de partir j’avais prévu d’aller à la rencontre de Marina mais je n’en ai pas eu le temps. De toute façon elle m’a informé après coup qu’elle n’était pas sur Paris ce jour-là. Ce n’est que partie remise. Quand je retournerais dans cette « banlieue merdique » j’espère que j’aurais plus de temps pour faire du tourisme et rencontrer les habitants que je connais. Je suis arrivé quelques secondes trop tard à la maison pour entendre le passage de dialogue que je préfère dans ce très beau film qu’est « Le bonheur est dans le pré » :

"- mais pourquoi vous ne l'avais jamais dit ?
- bin parce qu'on ne me l'a jamais demandé!"

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