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Retour à la case de Paris

Lever super tôt (3h30) et dans l’urgence, à peine le temps d’avaler un biscuit et me voila au volant de la voiture en direction de la gare d’Agen, je roule un brin trop vite car si je rate mon train je suis dans la ...... Finalement j’arrive à temps pour monter dans le TER jusqu’à Bordeaux où je change sans problème. Je réussis à dormir pendant le trajet, sans doute parce que ca bouge nettement moins. En arrivant à Montparnasse je fais un peu de tourisme en m’extasiant devant la tour du même nom puis je plonge dans le métro après avoir acheté un carnet entier de tickets histoire d'être sûr d'en avoir assez. En parfait touriste et éternel gamin je suis fou de joie quand la Tour Eiffel pointe le bout de son antenne au dessus des toits. Comme le hasard fais bien les choses mon métro traverse la Seine en aérien et je prends au passage une super photo de la tour à Gustave. Après mon cliché je passe instantanément de l'état de touriste parfait à celui de parisien blasé en demandant à quelqu'un à coté de qui je cherche à m'assoir: "Vous descendez à l'étoile?". J’arrive finalement à la Défense et je suis rassuré puisque j’ai repéré le bâtiment en arrivant, pas dur, c’est un des premiers, juste sur le bord de Seine. Je me recoiffe une dernier coup (si, je vous jure) et serre ma cravate puis passe l’entretien avec plus ou moins de décontraction. Je sais que je n’ai pas été parfait mais de toute façon c’est trop tard pour changer quelque chose, la réponse quelle qu’elle soit arrive en fin de semaine ou début de semaine prochaine. Après tout ce stress je décompresse un bon coup en me promenant dans la Défense où je suis surpris de trouver des habitations, un centre commercial et un musée traitant étonnamment de la construction de… la Défense. Je me fais raconter les actions d’une ONG genre médecins du monde par une jeune fille visiblement heureuse de trouver quelqu’un qui à du temps pour l’écouter et qui plus est le demande. La sirène hurle midi à tous ceux qui sont là et même à ceux qui ne veulent pas entendre. Dans le CNIT je fais une vidéo sans me rendre compte que je suis sous un Hilton, je rentre à la Fnac juste à coté et trouve pleins de trucs chouette (BDs, livres, DVDs…) mais je ne mémorise en fait que peu de noms. Ce n’est qu’en sortant du bâtiment que je me rends compte que les poignées des portes ont la même forme que le toit. Je redescends vers le petit snack que j’avais remarqué pour prendre une pose repas. Après ca je me décide à aller à l’arc de triomphe mais en métro parce que ca fait loin à pied. Je prends quelques photos du monument dont certaines en m’arrêtant au milieu des passages piéton en bout d’avenues. Je me rends à l’office de tourisme et constate qu’à la place se trouve un magasin Lancel (bin zut alors mon plan est trop vieux !) Sur la façade je note une affiche qui donne envie d’être plus souvent à la Concorde à 5 h du mat’ puisqu’ Alice Taglioni (mais cette blonde quelle pute ! pas vrai jéjé ?) et Laurent Manaudou font mumuse dans une fontaine de la place de La Concorde. Quelques minutes plus tard je suis moi-même à la Concorde et prends en photo l’obélisque et son chapeau décoré à la feuille d’or. Ils sont fous ces égyptiens de construire des trucs pareils, mais le plus con c’est quand même Napoléon il aurait pas pu ramener une pyramide plutôt !!
Face à la profusion de sites à proximité je fais au feeling et j’ai donc vu pris en photo ; les bateaux mouches, la tour Eiffel, l’hôtel des invalides, le grand palais, une statue de Simon Bolivar (spécial dédicace aux hispanophones), une de ce grand homme que fut Winston Churchill, quelques célébrités que j’ai reconnu cette fois, la Madelaine, la colonne Vendôme, une statue de Maillol (spécial dédicace aux perpignanais) et enfin le Louvre pour finir l’axe historique.
Je me résouds à prendre la direction de la gare car le temps passe et accessoirement j’ai mal aux pieds, grâce à ma curiosité je trouve l’entrée de la station de métro et c’est en chemin que je comprends d’où vient le nom de Montparnasse Bienvenü.
Cette fois encore je n’ai pas eu le temps d’aller jusqu'à Grévin pour trouver Marina, la prochaine fois sera la bonne.
Vous pensez que mes péripéties se terminent ainsi ? Que nenni ! Car après avoir fini par comprendre la logique SNCF et pris la bonne moitié de mon train à Paris je suis perdu dans la gare de Bordeaux pour trouver la suite de mon trajet. Je repère le tableau d’affichage au bruit caractéristique des palettes qui tournent (dommage qu’ils soient supprimés bientôt) et comme mon train n’y est pas je fais la queue au guichet en dessous. Après de longues minutes d’attentes j’apprends que mon train est annulé et on m’envoie ailleurs pour savoir où est le bus qui le remplace. Les indications du bureau que je finis par trouver sont assez floues mais j’utilise mon instinct par trouver les bus devant lesquels attend une petite foule. Pas beaucoup d’infos jusqu’au minutes avant le départ alors je discute avec ceux qui comme moi sont dans l’expectative. Finalement le bus part, avec un peu de retard sur l’horaire du train, pour Marmande en prenant l’autoroute. Les télés à bord reproduisent l’affichage du GPS du chauffeur, c’est sympa comme appareil mais pas indispensable selon moi surtout que l’appareil se trompe à l’entrée de la ville, c’est sans doute pourquoi le chauffeur l’éteint. Pas vraiment de soucis jusqu'à Agen où je retrouve la Kadettmobile pour revenir à la maison où je me couche en réussissant à ne pas réveiller mes parents !!

Les photos sont visibles en cliquant sur l'image qui suit pour avoir une animation sympa style album à pages. Pour profiter des titres, commentaires et un plus grand format il vous faut aller dans l'album photo correspondant ou mieux encore en demandant les fichiers d'origine à Gaby.

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