Comme le boulot que je devais avoir pour un petit moment ne m’a finalement pas été donné je n’ai plus eu à me tirailler pour savoir si oui ou non je descendais à Perpignan pour la fête dont Céline m’avait parlé depuis déjà une quinzaine de jour. J’ignorais que je resterais sur Perpi pendant trois jours ; voilà un récit détaillé.
1er jour:
Comme de façon assez habituelle je suis parti de chez moi avec beaucoup d’avance à cause de la distance mais avec du retard sur mon planning. J’ai fait une course à la boutique de l’usine pour apporter une contribution au repas de la revoyure puis j’ai pris la direction de Toulouse pour faire étape chez Mamie et y prendre le repas de midi. Je suis arrivé assez en retard par rapport à l’horaire que je lui avais donné mais cela ne s’est pas reproduit à mon arrivée en début de soirée à Perpignan chez Jéjé et Céline. J’étais le premier sur les lieux rapidement suivi des membres de notre ancien corps professoral présent en quasi totalité. J’ai été étonné de voir qu’il y avait autant de place dans l’appart mais la maitresse de maison était persuadée que c’était possible (ah ! l’intuition féminine). La soirée s’est bien passé et, à postériori, cela m’a fait bizarre de discuter avec mes anciens profs d’une telle façon et de sujets pareils. J’ai été en même temps heureux de revoir certains et déçus de ne pas revoir les autres mais ils devaient y avoir une bonne raison à leur absence. Le repas été bien évident délicieux et ma réputation de bon mangeur (venue de je ne sais où) m’a précédée. Ce qui m’a le plus surpris c’est que comme j’avais fait le déplacement jusque là bas j’ai eu de nombreuses sollicitations pour rendre visite aux gens. Daphné m’a proposée de voir avec Malvynn pour aller à son anniversaire le soir suivant et Jeroen m’a invité à mangé des crêpes à son gouter du dimanche. Au cours de la soirée je n’ai pas pu m’empêcher de sortir de son carton le sabre laser que j’avais amené avec moi. Celui-là même pour lequel je me suis dépêché d’ouvrir mon blog dans la nuit de mercredi à jeudi pour en arriver à la publication de la note le concernant et ensuite faire un multi-mailing. J’ai été surpris des réactions diverses à son sujet mais je pense que globalement ils ont tous trouvé ca très amusant et pris peur quand je leur ai donné les montants que je dépense pour ma collection. La soirée s’est finie tard et je suis resté dormir sur place après que nous aillons soudainement pris conscience de l’heure avancée, que nous ne regardions pas, car nous étions occupés à tchatcher.
2ème jour :
Nous avons difficilement émergés vers la fin de la matinée. J’ai accompagné les tourtereaux au centre commercial local pour qu’il aillent chez l’opticien, j’aurais bien acheté un jeu vidéo en même temps que Jéjé mais mon compte s’est fait plomber par une note de garagiste (130€), j’ai fait une course pour réaliser une promesse que j’ai remise à plus tard mais que je finirai par réaliser, tout vient à point à qui sait m’attendre !! J’ai également profité de l’après midi pour allé chercher mon diplôme puisque c’est une des rares choses que j’avais prévu avant de partir de ma verte campagne. J’ai occupé la fin de l’après midi à continuer le ménage entrepris dans le pc de Céline à la fin de la soirée des anciens, soit écrit en passant ca fait bizarre comme terme pour un éternel jeune et qui plus est fan de Stargate. Ce travail assez fastidieux à été entrecoupé de bonnes tranches de délires avec Jéjé sur les clips respectifs de Kamini et de Fatal Bazooka. Sachant que ce dernier devait faire une apparition dans l’émission de la première chaine dont j’ai horreur (tant le programme que la chaine) nous avons regardé d’un œil inattentif ce moment de télé digne d’un igNobel en attendant de savoir la tournure que prenait la soirée de Malvynn que l’on me décrivait d’une façon qui ne me donnait pas vraiment envie d’y être. Semblant cédé à mon insistance Jeroen à accepter que l’on sorte ensuite après coup. Le couple Durand peut témoigner de l’énergie assez exceptionnelle que j’ai déployé pour mettre en pratique cette idée qui n’est d’habitude pas la mienne. Après avoir trouvé une place de parking assez facilement (merci Jeroen) nous sommes allé à l’assez incontournable Boca Boca où nous avons retrouvés par hasard Sabrina et son copain. Déçus par la musique trop forte, comme à la mauvaise habitude des lieux de ce genre, et pas à nos gouts nous avons quittés les lieux au bout d’une heure pour réintégrer nos logements respectifs sauf moi qui suit retourné chez les Durand.
Le lever fut nettement plus difficile que celui de la veille, non pas à cause de l’horrible réveil mais bien de l’heure fort matinale, neuf heures !!, puisque Céline et Jéjé donnent des cours particuliers. Pendant que profs et élèves s’attelaient à leurs travaux j’etais plongé dans le pc de Céline pour en continuer l’optimisation. Dans l’après-midi nous avons retrouvés Jeroen et des copains à lui pour assister à leurs match de foot que j’ai dû quitter assez précipitamment pour plier mes bagages puisque Jéjé m’a annoncé que je devais partir de chez lui. Faisant contre mauvaise fortune bon cœur je me suis dit que c’était pas plus mal parce que ca commençait à devenir un peu du squat. Je suis donc arrivé chez Jeanne-Erique avec énormément de retard sur ce que je lui avais annoncé et avec la ferme intention de repartir avant que ne commence sa soirée consacrée au donjon de Nahalbeuk puisque cet univers m’est inconnu. Finalement je suis resté mangé et j’ai joué avec ces invités à « action ou vérité », ce jeu puéril où j’ai, en théorie, éludé les questions qui ne me plaisaient pas en buvant de l’eau et non une boisson alcoolisée comme sa règle le voulait. J’ai pris soin de passer pour plus déluré que je ne suis au yeux de ces connaissances. Le moment qui m’a le plus réjouis c’est quand JE à proférée la menace fantôme de recommander à mes parents de m’offrir des Legos, je jubilais intérieurement puisque maintenant les Legos c’est moi qui me les offre. En fin de soirée elle à acceptée de me laisser dormir chez elle, dans le lit près du salon.
3ème jour :
Après une bonne grasse matinée pour moi mais pas pour elle, non pas que je l’ai empêchée de dormir mais elle se lève toujours tôt, j’ai eu droit à un bol de céréales et je suis parti peu de temps après pour aller rendre visite à ma tante qui habite quelques kilomètres plus loin. J’ai été invité pour le repas de midi au cours duquel la conversation à tourné vers l’informatique. Conséquence de quoi j’ai été mis à profit pour vider la carte mémoire de l’appareil photo numérique de la maison, ce que nul ne savait faire. Après cela je suis remonté sur Perpi où j’ai fait un crochet par le Méga Castillet pour voir s’il n’y avait pas du travail à la boutique de produit dérivés où nombres d’articles, notamment tous ceux en haut de l’étagère de gauche en entrant, me font plus envie que l’Opel Speedster photographiée sur le parking. Après ca je suis allé jusqu’à la cité U pour honorer l’invitation de Jeroen au gouter dominical à base de crêpes (voir précédemment). Il était un peu surpris de me voir mais visiblement heureux. Après avoir mangé moins que ce que les autres le suppose j’ai participé à la conversation naissante puis conscient que j’avais encore de la route à faire je suis reparti pour Toulouse où j’ai de nouveau fait halte. Je n’en suis reparti que le lendemain et suis arrivé dans ma verte campagne juste à temps pour prendre mon petit frère Etienne chez mon ancienne maitresse de CP où il attend en descendant du bus quand personne n’est là pour venir le prendre.
Je termine cette note en envoyant une spéciale dédicace à tout ceux qui m’ont offert le gite et/ou le couvert tout au long de ce périple dans le Sud de la France, ce sont dans l’ordre chronologique ; Mamie, Jéjé et Céline, Jeanne-Erique, ma tatie Cécile et enfin Jeroen
Allo la blogosphère, ici Gaby !! - Page 15
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Quelques jours à Perpignan
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le début de mon blog
Voilà enfin le blog dont je vous ai un peu parlé à vous mes premiers lecteurs et dont je me suis beaucoup parlé à moi, son auteur. Vous y retrouverez plein de trucs sur moi et je verrais au fur et à mesure quelle forme cela prendra et ce que j’y dirai. En tout cas je vous souhaite une bonne lecture et n’hésitez pas à réagir.
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1300 kms en 17h
Je me suis levé à 5h du matin pour aller prendre le train à la gare d’Agen. Quelques heures plus tard, dont une partie à dormir, me voilà à Paname en train d’essayer de trouver le bon train pour aller à Versailles. Ayant réussi à descendre à la bonne gare (yana 5) dans ce qui fut la campagne parisienne et à finalement trouver les bons arrêt où monter et descendre du bus je suis arrivé à mon entretien d’emploi avec une bonne heure d’avance. J’en ai profité pour soigner mon look une dernière fois. Pendant l’entretien la recruteuse m’a sentie motivée mais elle a soufflée autant le chaud que le froid. Je sens que ca va finir par une réponse négative mais elle a insisté sur le fait qu’elle transmettrait mon CV et elle l’a vraiment fait, j’ai été recontacté et ca peut mener à quelque chose même si j'ai eu un mal fou à joindre la personne en question, personne ne semblait la connaître au numéro qu’elle m’avait laissée. En sortant de l’entretien je suis allé à la Fnac à coté où j’ai lu le nouveau Titeuf « mes meilleurs copains » que je vous conseille. Sur le retour vers la gare j’ai remarqué les mêmes monuments qu’à l’aller ; la place du marché, celle de la loi et le château au bout du boulevard. J’aurais bien pris des photos mais mon appareil n’a pas voulu s’allumer. Je me suis accordé un peu de temps à la gare pour manger un sandwich et une part de gâteau. J’ai réussi à revenir à Montparnasse sans difficulté puis je me suis immédiatement mis à la recherche de mon TGV en chemin j’ai croisé un groupe étrange comportant un mec au visage vaguement familier et face à lui une caméra, risquant le tout pour le tout je lui demande si c’est quelqu’un de connu, il me répond que non mais j’insiste puis ayant autre chose à faire je m’en vais persuadé qu’il me prend pour un con.
Ce n’est qu’en arrivant vers Bordeaux que je me suis rendu compte, avec une quasi-certitude, que j’ai parlé à Manu Katché, un des plus grand batteur du monde si ce n’est le meilleur. Je finirais par en avoir un d’autographe de célébrité, c’est la deuxième personnalité que je croise sans la reconnaitre. Avant de partir j’avais prévu d’aller à la rencontre de Marina mais je n’en ai pas eu le temps. De toute façon elle m’a informé après coup qu’elle n’était pas sur Paris ce jour-là. Ce n’est que partie remise. Quand je retournerais dans cette « banlieue merdique » j’espère que j’aurais plus de temps pour faire du tourisme et rencontrer les habitants que je connais. Je suis arrivé quelques secondes trop tard à la maison pour entendre le passage de dialogue que je préfère dans ce très beau film qu’est « Le bonheur est dans le pré » :
"- mais pourquoi vous ne l'avais jamais dit ?
- bin parce qu'on ne me l'a jamais demandé!" -
Indigènes
Je pourrais écrire beaucoup de choses mais je me contenterai de vous faire savoir que ce film raconte l’horreur d’une réalité que certains ont vécu sans en avoir forcément le choix..
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question de point de vue
Au cours d'une conversation avec Manue où je lui ai montré des photos de ma récente escapade au Pyla j'ai aussi fait passer une photo de chez moi, elle trouve que je suis au milieu de nulle part mais je suis pas d'accord, c'est elle qui habite à proximité de tout. Après tout dépend de ce que vous voulez avoir pas loin de chez vous. Comme sur cette miniature il est dur de trouver ma maison je vous invite à regarder cette photo grand format attentivement pour la trouver. Bon bien sur pour ceux qui savent déjà où elle est c'est d'autant plus facile qu'il savent d'où est prise la photo.
Tant que j'en suis a parlé de point de vue vous pouvez voir ma maison depuis le ciel en cherchant ces coordonnées sur géoportail : 0°35'58'' Est et 44°32'22'' Nord. Ya un gros effort à fournir pour ceux qui connaissent pas, ou ne se souviennent pas, du nom de la commune où j'habite mais vous serez récompensés. Pour info ma chambre est dans le coin sud-ouest de la maison.Si vous ne vous souvenez vraiment pas du nom de mon petit village ne craignez pas d'être ridicule en demandant.
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Les rebelles de la forêt
Pour une fois ma mère est venue au ciné avec mes deux petits frères. Je lui ai juste donner le titre et dit que c’était un film d’animation et elle a voulu venir. Pour un premier film du genre le studio de Sony à fait un boulot remarquable, la qualité des images et la recherche du détail est donnée dans une des toutes premières scène. Les personnages principaux sont complètement barrés et certains secondaires ne sont pas en reste. L’histoire est bien construite, j’ai noté un jeu de mots superbe glissé dans une scène de façon aussi habile qu’une feuille sous une porte, on ne s’ennuie pas une seconde mais la fin m’a semblée brutale bien qu’absolument hilarante.
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Escapade au Pyla
Aujourd’hui Maman amène Etienne et Corentin à Toulouse pour qu’il aillent passer quelques jours à Ur avec Chloé et Ludo. Du coup il ne reste que Papa, Coline et moi. Comme il fait tellement beau pour une fin Octobre nous sommes partis à peu près sur un coup de tête dans la direction de Bordeaux et plus précisément de la dune du Pyla. Nous avons embarqués à bord de la Kadettmobile et en évitant soigneusement la RN 113, ce qui nous a permis de passer pas loin de Paris, nous sommes arrivés sur le parking surchargé du plus grand tas de sable d’Europe. Nous avons achetés des sandwich et de quoi boire puis sommes allés jusqu’au pied de l’escalier. Par anticonformisme je suis passé à coté, c’est nettement plus amusant. Une fois arrivé au sommet j’ai fais une petite vidéo puis nous sommes descendus au bord de l’eau. Elle est pas très chaude mais je me mouille quand même jusqu’au genoux alors que ma sœur relève le défi de se mouiller en entier. Même mon père se mets à l’eau et ca mérite d’être souligné. Je m’adonne à mon activité de plage préférée, le monticule de sable. J’y passe un bon moment jusqu'à ce que soit l’heure de partir. Je me mouille en entier pasque sinon ca valait pas le coup de venir puis je fais une photo de mon œuvre et on attaque la remontée de la dune, on passe un peu par le coté pour s’éviter un effort inutile et alors qu’on s’en va il arrive un peuple fou. La route est complètement engorgée mais alors on fini par trouver notre chemin sur le réseau secondaire. On arrive tardivement mais content de ce petit dépaysement.
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Démos jouables
Les démos jouables que l’on peut télécharger librement à conditions de savoir où les trouver sont décidément trop courtes ; même si c’est très souvent tout en anglais j’arrive à comprendre l’essentiel. Ainsi je peux vous faire savoir que toutes celles que j’ai essayé n’ont pas fait long feu. De mémoire je peux vous citer Flat Out, c’est un peu dans le genre Burn Out, par contre les minis-jeux sont assez gores s’ils sont tous comme celui de la démo. Pour ce qui connaissent on se croirait dans Carmageddon 2 mais on écrase pas les gens qui se promènent, normal yana pas. Toujours dans le genre course j’ai eu Colin McRae Rally 4 qui bien que loin de la fin des travaux selon mon avis (les textures étaient moins bien rendues que dans le volume 3 que j’ai toujours pas fini) valait le détour par l’utilisation de ce que j’ai appelé le ghost car et dont il me semble que c'est le nom donné par le développeur du jeu. J’ai découvrant cet effet dans Trackmania Nations, ca peut sembler être une démo mais c’est en fait un jeu complet entièrement gratuit (en anglais bien qu’édité par un studio français) utilisé pendant la coupe du monde de jeux vidéos. J’ai aussi fait toute la démo de Star Wars : Empire at war et de son extension Forces of Corruption. Cela demande à l'ordinateur des ressources de calcul considérables si j’en juge par le bruit des ventilos de mon pc mais il semble être encore à la hauteur. Le meilleur reste à venir avec la démo du tout nouveau Need for Speed Carbon. Dans un genre tout à fait différent j’ai téléchargé la démo de City Life, un city-builder où les citoyens ont leurs mots à dire, mais je ne l’ai toujours pas installée alors que ca ait l’air assez bien fait.
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Chomdu
C’est difficile à avouer mais ca devait bien finir par arriver, je suis officiellement au chômage. A moi les joies des démarches administratives, leurs lenteurs parfois excessives, leurs doublons, jargons, complications, redirections… Tout ceux qui sont déjà passés par là savent de quoi je parle. Pour les autres ne vous en faites pas et réjouissez vous du jour où à la fin de votre vie professionnelle vous vous rendrez compte que vous n’avez jamais eu à le faire.
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Sport à Gavaudun
Par respect pour le leitmotiv familial qui consiste à prendre l’air le dimanche nous avons mis nos basket aux pieds et la clé de la maison à sa place habituelle. Nous (ma mère, mes petits-frères et moi) sommes allés à Gavaudun puisque s’y tenait une journée sportive organisée par je ne sais quel structure qui se donne pour mission de faire bouger les jeunes. Après avoir errer quelques minutes non loin du magnifique château médiéval nous avons fini par trouver le stand des inscriptions. Mes deux-petits frères ont choisi la tyrolienne et l’acro-branche. Comme la première avait pour départ le sommet du donjon ma mère est allée directement à l’aire d’arrivée pendant que j’amenais les deux agités au point de départ. Au passage j’ai pris quelques photos, pendant l’attente assez longue j’ai pris quelques photos, lors de leurs descente j’ai pris quelques photos, lors de la mienne (par le même chemin qu’à l’aller) j’ai pris quelques photos.
Faute de temps disponible nous n’avons pu aller à l’activité acro-branche qui a donc été remboursée à ma mère. Ensuite nous avons profité de notre venue sur les lieux pour se promener un peu dans le village où j’ai pris quelques photos.
Au fait j’ai oublié de vous dire, j’ai pris quelques photos… -
Retour aux pommiers
Ya encore du boulot pour un long moment, c’est le banquier qui va être content. Cette fois je ne fais plus dans la pose de filets; c'est la récolte avec plusieurs variétés au programme. Parmi celles-ci une bicolore dont il assez compliqué de se mettre dans l'œil les caractéristiques parfaites vu que la luminosité ambiante n'est pas toujours la même.
Deuxième point embêtant avec les pommes c'est la fragilité; tous les crétins que vous voyez dans les supermarché qui appuient comme des mules sur les fruits ou les employés de rayons qui vident les fond de plateaux en le renversant pour faire des pyramides de fruit (comme si c'était des Ferrero Rocher) sont des abrutis.
Troisième et dernier point c'est l'exigence du consommateur, cela m'a obligé à redevenir membre de ce que j'appelle avec amusement "la secte des calibreurs". On avait tous un instrument fait maison qui ressemblait un peu à un but de Quidditch pour savoir si un fruit est assez gros (il ne passe pas à travers le cercle) pour mériter qu’on le cueille. Rien d’extraordinaire jusque là me dirais-vous ! Le truc c’est que l’objet ne se range pas dans une poche mais il est suspendu autour du cou grace à un collier en caoutchouc, lui aussi fait maison, et de ce fait on l’a toujours avec soi comme si c’était un bijou précieux ou un signe d’appartenance à un groupuscule obscur. -
Samedi aquatique
Cet après-midi je suis allé avec mes deux petits frères et des copains à eux à la piscine de Malbentre, cela faisait des années que je n’y étais pas allé et je savais que depuis il y avait des toboggans. Cela m’a fait un grand changement, la piscine est devenue un véritable complexe aquatique, il y a désormais deux entrées, la plus proche du parking est nouvelle et donne directement sur les nouveautés ; six toboggans à double pente dont deux sont un peu plus hauts que les quatre autres, un bassin pour tout petit avec fontaine, un autre plus grand avec un courant artificiel, un jet d’eau venant du fond, une douche à grosses gouttes, des assises avec système jacuzzi. En plus de ca il y a une pelouse pour s’étendre et enfin un espace que je nommerai « bar de plage ». La partie que je connaissais existe encore, c’est celle de la piscine découvrable qui est reliée aux nouveautés par un petit chemin.
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Je voulais un MR
De temps en temps pendant le BTS en parlant avec Jéjé je me sentais un peu malheureux et je rêvais à un monde meilleur pour moi et les autres. Je me disais que pour me consoler un peu il me faudrait un MR (il faut prononcer les lettres) je pense que je n’ai pas mis longtemps a expliquer à Jéjé ce que je désigne par et maintenant c’est votre tour. Master Replicas (d’où l’abréviation MR) est une société états-unienne qui fabriquent des produits dérivés en collaboration avec les entreprises de divertissement les plus prestigieuses (Disney, Marvel, Dreamworks, Lucasfilms….). Pour ceux qui sont venus dans mon petit repère perpignanais, je les en remercie chaleureusement, il est évident que c’est des objets issus de l’univers de Star Wars qui m’intéressent. Maintenant c’est fait et pas n’importe comment puisque je me suis offert la réplique du sabre laser du maitre Jedi Mace Windu, c’est trop cher selon ma mère mais pour moi ce n’est que le début. Elle a d’ailleurs reconnu pendant les vacances de la toussaint que j’étais un collectionneur alors même que je ne me l’étais avoué que peu de temps avant.
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Enfer et Dame Nature !
La dame nation est moins connue alors bon voilà quoi…
J’ai lu horrifié qu’il n’y aurai pas de quidditch dans le film « Harry Potter et l’ordre du Phénix ». C’est véritablement un scandale, mes petits frères sont d’accord. Pour ceux qui ne connaissent pas le livre c’est un peu comme Star Wars sans « La Force soit avec toi », James Bond sans ses gadgets, Jéjé sans ses roulettes, etc, etc… en bref impensable.
Dans un autre domaine, le match de foot France – Ritalia confirme que nous sommes les vrais vainqueurs de la coupe du monde. -
La suite de l’événement pas du tout attendu
Bien que m’ayant senti intéressé, elle me l’a dit lors de l’entretien, la responsable du recrutement ne m’a jamais recontacté et les relances n’y ont rien fait. En clair je n’ai pas eu de réponse, même pas un non. Je trouve que c'est un maque de respect pour un candidat motivé et qui vient de loin, mais bon, le marché du travail est vraisemblablement plus souvent une jungle qu'une place civilisée.
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Rendez-vous dans un avenir inconnu
L’émission de France 2 intitulé « Rendez-vous en terre inconnue » n’a fait que renforcer mon sentiment de faisabilité sur l’idée que j’ai eu je ne sais plus quand de nous donnez rendez-vous, anciens du BTS, à Perpi le 11/12/13 à 14h15. Alors que je passais à Perpi, pour mon état des lieux de sortie de la cité U, j’ai demandé son avis à Jéjé sur cette date, fixée presque au hasard, et il n'a pas été contre. Il a même trouvé ca amusant. et vous, qu'en pensez-vous ?
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Pirates des caraïbes 2
Bien que n’ayant pas vu le premier volet qui a eu un succès d’autant plus inespéré par les producteurs que l’attraction Disney dont le film s’inspire commençait, à ce que j’en sais, à avoir un attrait jugé très faible. Enfin bref… J’ai cherché quelques infos sur le scénario et les acteurs puis j’ai demandé à mes petits frères, qui l’avaient vus en DVD chez un copain, de me raconter l’essentiel ce qui fut assez confus mais cela importait peu. Ce genre de considération ne m’a pas freiné et je les ai accompagnés à la séance de cette suite. Nous avons bien aimés même si nous n’avons pas tout compris. Pour essayer de palier à ce problème j’ai piraté (c'est pas bien !!) le premier volume que nous avons regardés ensemble mais certains point sont restés obscurs tant pour l’histoire du 1 que pour celle du 2. Je me retenterais ma chance en visionnant le coffret de la trilogie, j’insiste sur trilogie, dès qu’il sera disponible.
Profitant d’un passage de mon frère sur le net alors qu’il en étais à sa je ne sais plus combien tième semaine au Mexique, il y est resté 6, je lui ai donné mon avis sur le film et m’a dit que le titre original « dead man’s chest » n’avais pas non plus dans ce pays été traduit tel quel. En y réfléchissant bien c’étais prévisible vu qu’en français c’est devenu « le secret du coffre maudit ». Ah ! les joies du marketing ! -
L’évènement pas du tout attendu
Le vendredi précédent alors que j’étais en train de faire mon boulot en plein air j’ai reçu un coup de fil mais comme j’ai pas une minute à moi, que je travaille avec un bruit de fond permanent assez élevé, que la machine vibre beaucoup et que je n’ai pas mon portable dans ma poche ; je n’ai rien entendu. Ce n’est qu’une fois que j’ai été au calme que j’ai consulté mon répondeur, et là je n’ai pu qu’être surpris. Une personne qui m’appelle pour me dire que le dossier que j’ai déposé sur un site web l’intéresse et qu’elle veut me rencontrer, alors même que je n’ai répondu à aucune annonce. J’ai téléphoné au numéro donné le soir même et comme l’entretien devait avoir lieu à Nîmes mes géniales circonvolutions cérébrales n’ont pas mis longtemps pour élaboré le plan consistant à profiter du mariage à Perpignan pour me rendre à la préfecture du Gard le mardi suivant.
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L’évènement tant attendu
Je parle évidement du mariage de Jéjé et de Céline. Je crois bien que j’ai été mis au courant d’une façon assez inhabituelle. C’était un soir alors que nous étions encore en première année. J’étais dans un petit groupe constitué de Céline, Jéjé, Laure et moi. Alors que la voiture roulait dans le centre-ville pour que l’on se rende à la crêperie ou au resto chinois, je ne sais plus, Céline lance subitement en désignant un magasin une phrase du genre « tu vois cette boutique, c’est là que je vais acheter ma robe de mariée ». Heureusement que j’étais déjà assis parce que je peux vous dire que sur le coup ca surprend. Après j’ai eu droit à de nombreux détails tout le temps qui a séparé ce jour de la date fatidique du 5 aout 2006
Ce jour là j’ai pris Julien, le cavalier de Julena, en partant de Toulouse et je lui ai commenté les quelques trucs que je connaissais près desquels on passaient. Il à pris pour moi en photo la citadelle de Carcassonne, depuis le temps que je voulais cette photo j’étais content.
En arrivant à l’appart de Céline, où toutes les filles s‘affolaient de ne pas la voir revenir de chez le coiffeur, je me suis changé et j’ai résolu le problème de musique qui s’était posé puisque j’avais été chargé de trouver la musique, ce que j’avais accepté avec joie.
Ensuite Christophe, le frère de Jéjé, et sa copine sont arrivés puis la photographe officielle. Quand Céline est enfin arrivée un paquet de monde s’est affairer pour lui mettre sa robe et la maquiller. Puis enfin on est parti en convoi. J’étais en fin de convoi et je l’ai lâché assez rapidement car je ne voyais pas où il allait, c’était dans un bien bel endroit à ce que l’on m’a dit pour aller faire des photos. Cela m’a permis d’arriver le premier à la salle des mariages de Pollestres (avant même le personnel de la mairie) et j’ai en profité pour prendre quelque photos.
Au fur et à mesure que les invités arrivaient je me sentais perdu, je ne connaissais quasiment que Manue et Aurélie qui avaient comme moi honorées l’invitation. Ce fut une belle cérémonie avec un coup de « boite à vache » raté à la mairie. A l’église il y a eu un bug dans la musique que j’étais chargé d’allumer mais je ne vendrais pas le nom du responsable de l’ordre contradictoire ayant généré le problème, celui-ci résultait d’une méconnaissance de la liste et l’ordre des chansons. J’ai été surpris par le contenu du discours du prêtre mais un jour viendra où ce sera à moi de l’écouter, enfin bref…
Nous sommes ensuite allés au buffet qui précédait le repas. La décoration de la salle était superbement faite. J’ai été surpris d’avoir été « catapulté » à la table d’honneur, juste à coté de Jéjé. Le repas à été marqué par un léger incident mais cela ne nous a pas empêché de danser entre tous les plats meilleurs que les autres. Même moi j’ai dansé, ceux qui me connaissent savent que c’est rare. Ya une fille qui m'a tapé dans l'oeil mais je ne sais rien d'elle à part que son prénom semble être Camille. A une heure avancé de la nuit et voyant l’assemblée se réduire je suis allé mettre en place mon petit feu d’artifice que j’avais annoncé à Jéjé en lui disant que je rajouterais des étoiles à son ciel mais il devait être trop occupé à profiter de l’instant pour comprendre ce que je lui disais.
Le lendemain j’ai aidé à débarrasser la salle et à emporter les restes. J’ai fait plus ample connaissance avec la famille de Céline et ca fait bizarre. Je suis resté jusqu’au mardi matin pour pouvoir me rendre à l’évènement pas du tout attendu. J'ai bien fait d'emporter mon pc puisque je suis reparti avec le contenu d'un CD génial; "les malpolis élargissent leur cible" oeuvre d'un groupe nommé les malpolis. -
Youpi un diplôme
Comme tout les élèves de la classe j’ai reçu mes notes et je vous en donne le détails. Je laisse chacun de vous imaginer la raison qui me pousse (mais pas très fort) à vous les révéler.
Français : 6,5
Español : 10
Anglais : 13
Analyse de l’espace territorial : 11
Economie et droit appliqués au tourisme : 10
Etudes d’opérations touristiques : 11.5
Projet et actions touristiques : 9
Option patrimoine culturel régional touristique (Aquitaine) : 11
Quand je pense à l’assiduité que j’ai déployé dans certains cas je trouve bizarre d’avoir eu le bts alors que d’autres ne l’ont pas eu. Dois y avoir quelque part une commission de régulation qui à arrondi tout ca pour faire en sorte que je l’ai ce diplôme. -
Travail à l’air libre
A l’insistance de ma mère, j’ai quitté Perpignan pour prêter main forte sur l'expoitation familiale et il y en avait bien besoin. Avec l’apprenti de papa on à mis au moins une semaine à démonter buche par buche les petits tas de bois accumulés le long des rangées pour les jeter avec fracas dans une benne. Si vous aviez été là vous auriez pu noter avec quel flegme on le faisait et la poésie qu’il s’en dégageait. C’était émouvant (rires) au début mais après on pensait surtout que ca faisait mal au dos. On a formé au final un tas d’un petit paquet de mètre cube de bois qui va bruler dans la cheminée les hivers prochains. A tout malheur quelque chose est bon. Immédiatement après cela j’ai enchainé sur un autre job, la pose de filets para grêle au dessus des pommiers qui n’en étaient pas encore équipés. Avant d’aller plus loin je précise que l’on mets de tels filets dans le but de s’éviter de payer des assurances aux tarifs astronomiques. La récolte de l’année était fichue à cause du coup de vent du 4 juillet car cela aurait été trop beau si la grêle ne s’y était pas mêlée pour amocher les fruits.
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Cata en 47
Le soir du 4 juillet un énorme coup de vent a frappé la région. Selon les spécialistes de la météo qui n’ont pas manqué d’analyser le phénomène on était au stade juste avant la tornade comme celles qui balaient les plaines de l’ouest américain. Ce soir là avait lieu la fête de l’école et tout les enfants avaient un peu peur du vent qui soufflait tellement fort qu’un carreau a pété. On a les a rassurer en leur disant que dans les cas de sinistre c’est toujours dans le gymnase que se réunit la population. Comme on y était déjà on risquait rien ! On s’est aperçu après coup que le plan d’évacuation de l’école juste à coté était à revoir assez profondément.
La voiture de mon père à pris l’eau de part la façon dont elle était garée sur le parking ; devant un muret en bas du parking en pente où l’eau s’est accumulée. Elle a souffert d’un problème de démarreur assez gênant puis finalement elle à été considérée comme hors service.
Ce n’est qu’après que le vent ce soit calmé que c’est les parents qui ont commencé à paniquer avec les coups de fils du genre « Ne prenez pas la route untel pour aller à tel endroit, c’est coupé ». Le lendemain la constatation et la consternation était de mise. A un mois de la récolte des prunes de dizaines d’hectares d’arbres avait reçu des dommages considérables dont certains ne ce serait pas relevés. Il n’y a pas eu d’autre solution que de le couper à la tronçonneuse. Tous les producteurs se sont entraidés pour permettre de terminer au plus vite ce chantier considérable.
J’ai vu une « photo » satellite de l’évènement, il n’y avais pas besoin de la légende pour comprendre que le plus fort de l’évènement avait eu lieu au dessus de nos têtes.. -
Le quotidien change
Nous sommes à la fin du mois de juin. Maintenant que l’examen n’est plus une priorité absolue je trouve que mes journées sont vides. Pas de cours en classe ni à étudier. Je cherche bien du travail mais cela ne donne pas grand chose. Dans les quelques jours après l’examen je suis bien allé à la plage (essentiellement avec Marina, Daphné, Jeroen et Aurélie) mais j’ai eu l’impression (qui s’est confirmé depuis) que rien ne serait plus comme avant.