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La première partie de l'adaptation du dernier tome de la saga magique sort à la fin de l'année, le 24 novembre pour être précis. Certains éléments relatifs aux films ont pu être entre-aperçu de ci de là dans la presse et le web. Mais c'est aujourd'hui que parait la première affiche teaser. Le moins que l'on puisse dire, en faisant appel au parler d'jeuns, c'est qu'elle tue.
Je préfère un peu cet affiche à la bande annonce visible depuis quelques jours.
Histoire de profiter de la fête du cinéma je suis allé voir ce film qui ne me semblait pas trop mauvais au vu de la bande annonce. D'ailleurs à propos de BA celles précédant le film n'étaient que des productions ayant un rapport plus ou moins lointain avec Disney: Prince of Persia : les sables du temps, Alice au pays des merveilles, Le choc des titans et Iron Man 2. Mais revenons en au film du jour.
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Pour être sûr d'en mettre plein la vue dès le début du film la première scène montre Poséidon entierement aqueux, ca se comprend facilement, sortir de la mer en version king size, sous les yeux ébahis d'un pécheur, puis adapter une taille rationnelle en se débarrassant d'un « trop-plein » d'eau. Il se rend au sommet d'un building et rencontre ni plus ni moins que son frère et roi Zeus qui lui expose un problème grave : si son neveu (à Zeus) Percy ne lui rend pas l'Eclair, l'arme la plus puissante sur Terre, avant le solstice d'été (soit environ 15 jours) alors ce sera la guerre.
Le problème c'est que Percy n'est pas le voleur de foudre. Il ne sait même pas qu'il est un fils de Poseidon alors comment ferait-il pour dérober quelque chose dont il ignore l'existence ? Mais cela ne va pas durer longtemps ! Repéré par ceux qui convoitent l'Eclair, il se voit contraint de fuir vers un camp où il sera en sécurité et où il découvre la vraie nature de son père ainsi que celle de certaines personnes de son entourage. Au cours d'une soirée il quitte le camp avec une idée en tête, elle sera sa quête.
Adaptation du premier tome d'une série de roman de jeunesse, ce film divertit mais ne peut pas réellement rivaliser avec le trop bien établi Harry Potter, qui ne joue pas exactement dans le même catégorie. A la lecture des résumés trouvés sur le net j'ai l'impression que les aventures de Percy ont subies plus de coupes que celles de Harry. Il n'empêche que Chris Colombus, déjà à l'œuvre sur les deux premiers HP, s'en sort plutôt pas mal avec le scénario qu'il à co-écrit. Quoi qu'un brin répétitif ce dernier est suffisant pour ne pas être franchement ennuyeux pendant la section « road-movie » de la quête même s'il y a selon moi quelques problèmes de logique. Le fond musical est crédible et illustre intelligemment les scènes où il est le plus présent. Il y a un moment où j'ai trouvé que le dialogue manquait de spontanéité mais l'ensemble est correct. A noter que Percy est un peu nul en mythologie mais le film aurait été moins bon si cela n'avait pas été le cas. Pour ce qui est des acteurs Sean Bean n'est pas celui qui déplace le plus les foules, interprète de Zeus ou pas il est quand même moins bankable que Pierce Brosnan (007) ou Uma Thurman (Kill Bill...). Celui qui y gagne le plus dans ce film c'est bien évidemment Logan Lerman, l'interprete de Percy, qui ajoute les trois bankables précités à sa déjà longue liste : Mel Gibson, Heath Ledger, Drew Barrymore, Christian Bale...
Je viens de regarder ce documentaire télé sur l'obéissance. Si vous l'avez vue aussi vous pouvez lire toute la note où aller directement au dernier paragraphe.
Réinterprétation moderne de l'expérience de Milgram, que je ne connaissais pas je l'avoue, elle prend ici la forme d'un jeu télé où un candidat doit envoyer des décharges électriques à un autre s'il se trompe dans les réponses aux questions posées. Comme seul le questionneur n'est pas informé de la réalité du moment (l'expérience), celui qui doit répondre pour gagner seul une somme d'argent (qui n'est en fait pas en jeu) se trompe tout le temps et fait semblant de subir les décharges de plus en plus violentes, et sur la fin potentiellement mortelles, délivrés par le questionneur qui actionne les manettes.
Au bout d'un moment le comédien ne répond même plus aux questions et implore le questionneur d'arrêter. Ce qu'il ne fait pas puisque selon la règle ne pas répondre c'est répondre mal. Il faut dire que les encouragements de l'animatrice, qui le dédouane des conséquences, et du public (qui sait ce qu'il se passe) ne l'aident pas à imposer la volonté du comédien quand il finit par vouloir accéder à ses requêtes. Se pliant aux consignes très peu ont finalement imposés leur point de vue et sont donc allés jusqu'à la délivrance de la plus forte décharge.
Du moins tant que la présentatrice était là et c'est là que ca devient intéressante. En effet avec certains questionneurs elle partait au cours du jeu en laissant le questionneur seul aux commandes. Il ne tardait pas à se débiner et à partir lui aussi.
L’expérience était donc concluante selon moi. Ce qui y ont vus dans cette émission une analyse de l'impact de la télé-réalité ou plus simplement des jeux TV se trompent de débat.
C'est aujourd'hui que commencent les jeux paralympiques de Vancouver. Les sportifs qui y participent méritent selon moi une couverture médiatique aussi étendue, sinon plus, que les valides. Malheureusement les diktats télévisuels vont probablement réduire à peau de chagrin les programmes qui y sont consacrés et/ou leur visibilité, je trouve cela bien triste !
Aujourd'hui Michaël Youn est l'invité d'"Avancouver", l'émission de France 2 qui couvre les Jeux Olympiques de l'année. Bon évidemment Michaël est là pour parler sport mais aussi pour assurer la promo de "coursier" le prochain film dans lequel il joue, qui soit dit en passant à l'air pas trop mal par rapport à ce qu'il à déjà fait. Mais revenons en à nos bonhomme de neige. A une de ces premières prises de paroles le trublion du paf à dit ,à peu de choses près, "eh bin je suis bien content de payer des impôts pour que vous ayez un aussi beau studio." Ca fait plaisir à entendre, enfin quelqu'un qui publiquement est content de ce qu'il est fait de l'argent qu'il verse à l'état, et vu le gars il doit en payer plus que vous ou moi. C'est pas comme une connasse que j'ai eu comme collègue de travail qui se plaignait de mettre tout les ans 1000€ par les fenêtres en payant ses impôts. Bon déjà elle ferais moins d'heures sup' elle paierait peut être moins d'impôts mais bon bref!. Je me demande si ceux qui se plaignent se rendent compte de tout ce qu'il n'y aurait pas sans ce pécule versé à l'Etat : l'éducation, la police, la justice, la sécurité sociale, les retraites, les routes, le service public ...
Histoire de finir sur une note gaie voila là bande annonce du film dont il est question plus haut.
Ca y est, ils ont virés les filles, elles ne me manqueront pas ! Non pas que je sois macho et que je considère le bricolage comme une activité exclusivement masculine, ya qu'à voir l'effet de mode généré par Damidot, mais plus que la présence des filles (qui donnaient l'impression aller faire du shopping à Casto comme si elles allaient acheter des fringues qu'elles ont déjà) c'est surtout le slogan crillard qui à eu tôt fait de me casser les oreilles. Je préfère nettement le nouveau.
Tant que j'y suis à parler d'image d'une marque je vous fais savoir que Rodolphe pour Free à bientôt fini son contrat. Même s'il était l'incarnation d'un tas de clichés, il avait un petit rien d'attachant qui le mettait presque au niveau de sympathie de la cretinbox.
Si comme moi vous allez souvent sur Allociné pour une raison ou une autre vous avez peut être remarqué que le site à lancé une nouvelle émission intitulée "Faux raccord".
Son principe est on ne peut plus simple, montrer que tout les films ont des imperfections minimes mais qui se voient à l'écran si on n'y fait bien attention. Si vous aimez briller en société en parlant de la Rolex de Peter O'Toole dans Lawrence d'Arabie méfiez-vous! Vous risquez de trouver des semblables aux connaissances aiguisées pour peu qu'ils disposent de suffisamment de temps pour regarder et se souvenir de ces petites vidéos décrypteuses.
A la fin de la projection le premier truc que j'ai fait c'est de demander à Titi et Coco: «Alors! ca vaut pas ses 8€50 ? » en pensant bien évidemment que oui. Et pourtant le scénario est somme toute assez basique dans un cadre qui l'est nettement moins.
Au XXIIème siècle l'humanité a réussi à quitter le système solaire pour se rendre sur Pandora, une planète à la végétation luxuriante où abonde un minerai doté de propriétés lui conférant un grand intérêt économique. En parallèle à cette mission d'extraction se déroule des opérations biologiques et ethnologiques sur la faune et la flore locale ainsi que sur les autochtones baptisés Na' vis, des humanoïdes à la peau bleutée, des oreilles en pointes, une queue et mesurant dans les trois mètres de haut. Le souci c'est que l'atmosphère de la planète est toxique pour les humains et les obligent donc à porter des maques. Pour faire leurs études sur le terrain les scientifiques ont donc recours à des avatars, un corps contrôlé à distance issu d'un mélange génétique entre de l'ADN humain et celui d'un habitant local.
Jake Sully, soldat vétéran, se voit proposer le poste de pilote d'avatar qui aurait dû revenir à son frère jumeau, scientifique de renom. Suite à un concours de circonstances Jake gagne une occasion inespérée de découvrir de l'intérieur le peuple Na'vi et d'obtenir des informations pour une mission non officielle d'espionnage. Le danger principal, à part le milieu naturel bien évidemment, étant toutefois de rester dans les objectifs de sa mission et quand la finalité de celle-ci approche Jake est confronté à un choix : aider les humains ou les dissuader de mettre leur projet en application.
Après des années d'absence le moins que l'on puisse dire c'est que James Cameron fait un retour fracassant. Cela fait de nombreuses années qu'il a eu l'idée de son film mais il lui a fallu attendre patiemment que la technologie soit au point, le déclic ayant eu lieu avec le convaincant Gollum du seigneur des anneaux sortis des "laboratoires" de Weta. Comme on n'est jamais mieux servi que par soi-même il a crée ni plus ni moins, entre autres, que la technologie Fusion Caméra qui permet de filmer en 3D avec une mise au point le sujet central de la scène, grâce a un autofocus électronique. Comme John Dykstra en son temps il donne au passage un coup de pouce format Hulk à la technologie cinématographique. Même si certains aspects scénaristiques peuvent paraitre léger on n'y fait pas attention très longtemps face à la beauté de l'image, c'est bien simple, on ne regarde pas me film, on le vit. On se laisse porter par l'histoire et la musique dans un environnement d'une beauté à couper le souffle où chaque plan est rempli de tellement de détails qu'il faudrait voir le film plusieurs fois pour faire attention à tout. Le souci de réalisme à été poussé jusqu'à faire appel à un linguiste pour créer un dialecte cohérent pour les indigènes de Pandora, le petit plus de la 3D étant le fait que les sous-titres de dialogues na'vi semblent flotter dans l'avant-plan de la scène.
C'est peut être une formule galvaudée mais je pense qu'il y aura un avant et un après Avatar. Sur le plan technique c'est peu de dire qu'est c'est le point de départ de la généralisation de la 3D sur les grosses productions. Pour les interprètes principaux c'est un formidable coup de boost à leur carrière. Si Sigourney Weaver n'en a pas vraiment besoin ce n'est pas vraiment le cas de Sam Worthington que le réalisateur à du imposer à la Fox qui n'a pas oser dire non (qui dirais non à l'homme de Titanic ?). Michelle Rodriguez passe elle, selon moi, du statut de « fille à gros nichons » acquis avec la saga fast and furious à celui du second rôle convaincant. Zoé Saldana aura probablement plus de mal à marquer l'esprit du public puisqu'elle incarne une Na'vi du début à la fin. C'est peut être mieux que Stephen Lang qui gagne une étiquette de militaire borné.
Spéciale dédicace à ma cousine Mathilde pour m'avoir fait remarquer que le visages des Na'vis ressemble à celui des chats. Elle qui a vu le film en 3D et en 2D à préférée la version 2D. C'est son choix et je le respecte, n'ayant vu que la version 3D je ne me prononcerais pas sur le sujet.
Super spéciale dédicace à ceux qui ont lu les premières versions de cette note. Ils ont pu constater que son contenu à beaucoup changé pour finalement ne mentionner que ce qui me semblais réellement nécessaire.
Je viens de voir ce film à la télé, j'ai raté le début mais pas beaucoup je pense. Quoi qu'il en soit c'est beau mais c'est triste. Ca rappelle que l'on peut mourir bêtement alors il faut profiter de la vie, sans excès ni trop de limites.
Aujourd'hui est un jour funeste, par 296 voix contre 233 l'internaute francais vient de perdre sa présomption d'innocence. Le vote au palais Bourbon de la loi Création et Internet illustre une nouvelle fois la capacité de représentants de l'Etat à voter des conneries, et le mot est faible. Je vous donnerai très prochainement des détails de mon opinion sur le sujet.
Vous connaissez Susan Boyle ? Non!? Alors je vous la présente : écossaise proche de la cinquantaine elle est déjà incontestablement la grande révélation de la troisième édition de l'émission "Britain's got talent" l'équivalent outre-Manche de "Nouvelle Star". Tout cela pour une simple raison, elle a une voix hors du commun. Histoire que vous compreniez je vous laisser regarder cette vidéo qui à l'avantage d'être sous-titrée. Prêtez attention aux réactions immédiates du jury et aussi aux paroles de la chanson à mon avis bien choisie.
Une conclusion s'impose : ne vous fiez jamais aux apparences, l'œil ne voie que la surface des choses !
En ce moment on peut voir sur nos petits écrans la pub pour la nouvelle déclinaison de la Citroën C3, présentée officiellement au dernier Mondial de l'auto de Paris.
Décidément les temps sont durs pour Orange, même pas un mois après avoir perdu l'exclusivité sur l'iPhone c'est une nouvelle part de son modèle de développement qui subit des revers. En effet il y a maintenant plusieurs mois le groupe a entrepris de piétiner ouvertement les platebandes de Canal+/CanalSat en vendant du contenu exclusif pour recruter des abonnés à sa télé par ADSL et son offre satellite, cela ne semble pas plaire aux instances gouvernementales et à la justice. Petit résumé des faits:
17/12/08 Les députés votent dans la loi de réforme de l'audiovisuel public l'amendement 441 qui vise clairement Orange, sans le nommer bien sûr, et lui interdit de réserver des contenus à ces seuls abonnées. Comprenez par là les récents Orange Foot (6€/mois) et Orange Cinéma Séries (12€/mois)
08/01/09 Le gouvernement demande au Conseil de la concurrence son avis sur les offres exclusives des FAIs
16/01/09 Les sénateurs suppriment l'amendement 441 argumentant que les montants en jeu ne sont pas négligeables.
12/02/09 Canal+ et SFR portent plainte auprès de la Haute autorité de la concurrence (ex Conseil ~~) à propos des pratiques d'Orange sur l'exclusivité que se donne l'opérateur pour commercialiser ses offres incriminées et qui suscitent tant de convoitises.
23/02/09 Le tribunal de commerce de Paris estime qu'Orange pratique la vente liée, interdite en France, entre la commercialisation de son accès triple-play (Web/TV/téléphone) et son offre Orange Foot. La demande conjointement par Free et SFR déposée en juin 2008 à donc abouti positivement pour eux après les échecs de procédures judiciaire en référé puis en appel
Maintenant. Le problème n'est pas près d'être résolu, la Haute autorité est manifestement dans une situation délicate puisqu'elle doit statuer sur deux dossiers similaires mais déposés l'un par une instance d'Etat et l'autre par des sociétés privés. Aucun des deux dossiers ne devraient être résolu cette année.
Bon à savoir : Canal+/CanalSat et SFR (qui à acheté le FAI Neuf Télécom) appartiennent toute les deux à Vivendi. Si la Haute autorité légalise les pratiques d'Orange alors Vivendi aura la porte ouverte pour faire passer les contenus de Canal dans les tuyaux de SFR. Déjà que je regarde pas beaucoup la télévision, enfin je pense, je serai bien embêté le jour où je n'aurai plus d'autre choix que de payer le pack de services, évidemment commercialement indissociables, qui présente le moins d'inutilité à mon gout.
En ce moment ya deux trucs dont je veux vous faire part, je réunis donc les deux dans une seule note pour faire simple (même si le titre ne vous semble peut être pas l'être!)
La police progresse, inlassablement
A l'issue de la récente mais énième rediffusion de cet excellent film qu'est "Le Fugitif", je me suis dit que si "les experts" avaient étés chargés de l'affaire c'est pas un film d'un peu plus deux heures qu'il aurait fallu mais même pas un épisode de quarante-deux minutes, soit quand même trois fois moins de temps, pour présenter tout les tenants et les aboutissants de l'affaire Kimble. Heureusement qu'au cinéma les unités de police ne sont pas aussi scientifique, rapide et efficace que semblent l'être celles des séries télé!
Les divorces et Alzheimer
En ce moment on peut voir à la télé des pubs pour un magazine féminin, astucieusement nommé "Femmes", dont le prochain numéro contiendra une interview de Cécilia Attias. Cela m'a emmené à une constatation plutôt cruelle: sachant qu'elle en ai déjà à son troisième mariage, quand viendront ces vieux jours et la maladie d'alzheimer saura t'elle encore comment elle s'appelle ?
Hier se tenait un procès lié au piratage du film "les bronzés 3, amis pour la vie". Après son succès en salles il s'est très peu vendu en DVD. Studio Canal, producteur du film, attribue ce flop directement au piratage massif et s'appuie sur la statistique du Centre national de la cinématographie (CNC) selon laquelle un film ayant réalisé 10 millions d'entrées au cinéma peut espérer 2 millions de ventes de DVD. Or seulement 977 000 exemplaires ont été vendus générant ainsi un maque à gagner estimé par la prod' à 12 millions d'euros, somme record réclamée au titre de dommages et intérêts.
Moi je pose la question suivante : si le film est nul (comme c'est à mon avis présentement le cas) faut il vraiment s'étonner qu'il soit plus piraté que vendu ?
Il y a de cela environ un an le chef de l'état décidait de façon super-démocratique, et avant même l'instauration de la commission sur le sujet, que la pub n'avait plus sa place sur le service public.
La crise financière ayant fait irruption entre temps les plans d'origine ont quelques peu été chamboulés, ainsi la suppression n'est pour l'instant effective qu'après 20H sur les chaines de télé publiques.
J'espère que les effets de cette limitation seront plus bénéfiques que destructeur. Je ne me place pas évidemment au point de vue de l'actionnaire d'une chaine privée qui lorgne déjà sur la carcasse fumante de ce service dont l'état cherche semble t'il à se débarrasser. Personnellement je resterai d'autant plus fidèle à aux JTs de la 2 et la 3 que je ne parviens pas à comprendre pourquoi celui de TF1 est le plus regardé.
Je ne voudrais pas verser dans l'anti-sarkosizme primaire mais quand même ya des fois où le président de la République me semble mettre les pieds dans le plat. Un exemple récent en est son passage dans les colonnes du Monde à propos des médias. Plutôt que de faire honteusement dans la paraphrase je vous renvoie vers l'article que j'ai lu.
A noter pour ceux qui ne serait pas au courant de la chose qu'en matière d'internet un troll est à peu près aussi fin dans ses actes que celui qui existe dans les livres.
Quantum of Solace
La musique du prochain James Bond est déjà en écoute sur Internet à cette adresse. Elle est signé Jack White (de "The White stripes" et "The Raconteurs") et il s'y associe avec la chanteuse Alicia Keys.
Spider-Man 4 et 5
Tobey McGuire, acteur principal de la franchise, aurait négocié un aménagement de son emploi du temps sur le tournage simultané des deux prochains films de l'homme-araignée qui s'étale sur six moix.
Jean Dujardin
Peut on encore dire que c'est un acteur qui monte ? Quoi qu'il en soit il est actuellement en tournage des nouvelles aventures d'Hubert Bonisseur de la Bath alias OSS 117 dans "OSS 117 : Rio ne répond plus" dont la sortie est programmée pour le 15 avril prochain. Le réalisateur est cette fois ci aussi Michel Hazavanicius, le même que pour l'hilarant "OSS 117 : Le Caire, nid d'espions" dont la sortie remonte déjà à 2006.
L'acteur semble fidèle à ses réalisateurs, ainsi il retrouvera James Huth, auquel on doit le passage sur grand écran de "Brice de Nice", pour un nouveau long métrage sur le cowboy qui tire plus vite que son ombre : Lucky Luke. De nombreux autres personnages ont étés annoncés mais je me demande si du coup il n'y en aura pas trop. On verra bien si la liste s'allonge puisque la sortie est prévue pour le 21 octobre 2009. Espérons de toute façon que cela passera moins inaperçu que "Les Dalton" sans pour autant avoir le battage inutile d'"Astérix aux Jeux Olympiques"
Hellboy 2
Le démon rouge est de retour dans les salles noires pour un dégommage de nouveau méchants : les légions d'or maudites. C'est avec (h)ell(es) qu'il partage le titre français : "Hellboy II : les légions d'or maudites". Personnellement je trouve qu'en anglais ca sonne mieux " Hellboy II : The Golden Army" mais vu que le film s'annonce pas très fin niveau scénario c'est pas vraiment gênant. Pour ceux qui n'aurait pas vu le premier la phrase favorite du héros, surtout quand l'adverse est plus gros que lui, c'est : "Ca me gonfle !".
La réalisation est toujours dans les mains de Guillermo del Toro. Le rôle titre est encore confié à Ron Perlman; les personnages secondaires sont les mêmes : Selma Blair pour Liz et Doug Jones pour Abe sapiens. Le film est déjà sorti aux Etats-Unis mais pour la France il faut attendre le 29 octobre.
Message à l'attention de tous ceux qui téléchargent illégalement, parfois sans scrupules, les disques et long-métrages à peine disponible voire avant même les sorties.
En ce qui concerne les CDs je suis d'accord que parfois le prix est une pilule dure à avaler, surtout pour les très vieilles productions, mais pensez à l'utilité de cette belle petite boite (avec tranche) toute en couleurs grâce à laquelle quiconque jette un coup d'œil désinvolte sur votre médiathèque y reconnais le CD qu'il adore. Cela vous permettra aussi de prêter facilement n'importe laquelle de vos acquisitions sans avoir à chercher un CD-R. Si vous êtes féru de musique numérisée dites vous qu'au moins vous aurez une sauvegarde de qualité.
Pour le ciné je veux bien comprendre que dans les grandes villes la place de ciné soit vendue fort cher mais pensez qu’elle vous donne droit à une projection sur un écran incomparablement plus grand que celui où vous regarderez le fruit de votre méfait qui vous privera très probablement de la séquence disponible après le générique de fin comme c’est de plus en plus le cas.
A défaut d’être le premier super héros noir de l’Histoire, puisqu’il ne faut pas oublier Frozone apparu dans « Les indestructibles », Hancock est assurément le seul qui se bourre la gueule. Le mépris que lui voue les habitants de Miami à sans aucun doute pour origine son comportement des plus je-m’en-foutiste quant aux dégâts causés par ses interventions. Un jour comme un autre il sauve d’une mort certaine un doux rêveur spécialiste en relations publiques qui décide, en guise de remerciement, de rehausser l’estime de la population envers ce super-héros des plus caractériels. Ça se passe plutôt bien jusqu’à un moment assez romantique où l’action est chamboulée d’une façon franchement imprévisible. Hancock doit alors faire face à l’essence même de son être et ce n’est pas évident.
Cette histoire de super héros atypique par bien des aspects s’appuie évidement sur le charisme de Will Smith qui joue ici un personnage un peu différent de ceux auxquels il est habitué mais il lui donne vie d’une façon persuasive. Les effets spéciaux assez logiquement omniprésent mais ne servent qu’à mettre en image les capacités hors du commun du personnage central. La musique d’ambiance est calée sur l’action et donne à la mise en scène un dynamisme qui ne manque pas de mordant.
Pour ce qui est de l’esthétique je vous invite à prêter attention au costume qui par sa coupe et ses ornements m’évoque immanquablement celui de Jean Grey alias Phénix dans la fresque X-Men. Je tiens aussi à vous communiquer le fait que je trouve l’affiche extrêmement bien faite.
Il est sûr qu’il sera plus facile de s’en procurer un exemplaire de celle ci que du bonnet ou des lunettes que porte le héros.
J’espère que si une suite voit le jour elle gardera ce qui fait de ce film un agréable moment si l’on exclut les très courts instants où cela se transforme en panneau de pub géant. C’est toutefois probablement un mal pour un bien. Peut être que nombreux sont ceux qui comme moi se demande pourquoi Hancock adore les aigles.
Ainsi sous une apparence de film de super héros de facture relativement classique on découvre une œuvre originale qui, à contre courant de la tendance du moment, ne donne pas à voir qu’une opposition entre un gentil et un méchant mais aborde aussi sous un angle inédit les thématiques classiques du devoir, de la rédemption et du sacrifice.
Le phénomène panda-normal est arrivé en avant-avant-première ce lundi à Villeneuve alors que sa sortie nationale est pour dans deux jours. Profitant de cet évènement et du fait que la place ne coute que 5,5 € je suis donc allé voir cette nouvelle production Dreamworks avec Etienne et Corentin.
Je vous en ai déjà parlé dès le début de l’année mais pour ceux qui ne m’aurais pas lu à ce moment voici un résumé succinct du synopsis : Po, un panda grassouillet est désigné comme étant le guerrier qui doit sauver son peuple. On fait difficilement plus court pas vrai ?
Sans que cela ne vous gâche le suspense je peux quand même vous avouer que Po est fan de kung-fu et admirent ceux que l’on surnomme les Cinq Cyclones : Tigresse, Mante, Singe, Vipère et Grue. Tous formés à cet exigeant art martial par l’intransigeant Maitre Shifu. Un jour qui ressemble à tout les autres Po fait le service dans le restaurant de nouilles de son père mais une nouvelle suscite l’intérêt général et peut être celui de Po plus que des autres habitants du village. C’est en effet ce jour là qu’un des Cyclone doit être désigné comme étant le Guerrier-Dragon destiné à protéger son peuple du terrible Taï Lung qui ne va pas tarder à s’échapper de prison selon la vision du très vénérable maitre Oogway. Le hasard ou le destin, c’est selon, voudra que ce soit Po qui soit désigné plutôt malgré lui. Pour vous c’est à ce moment là que vos zygomatiques commencent à sérieusement s’échauffer car les scènes qui suivent sont, peut être encore plus que celles qui précèdent, l’occasion de rire franchement de part le comique de l’action, de la situation ou des mots. Suite a cette désignation qui laisse sceptique Maitre Shifu commence sa difficile tache de rendre vraie une vision qui lui semble, et on peut le comprendre, mal interprétée. Le maitre va toutefois assez vite cerner la personnalité de son élève pour adapter ses leçons en conséquence et le moins que l’on puisse dire c’est que ce n’est pas vraiment de cette façon que l’on imagine que s’apprend le kung-fu.
Fort de ses personnages hauts en couleurs, de ses paysages à couper le souffle, de ses effets spéciaux incroyablement frappants (ce qui est peu de le dire pour un tel film) même s’ils dotent les combattants d’aptitudes physique qui ferait baver d’envie le plus aguerrie des Jedis, d’une musique d’ambiance des plus réussie, d’une esthétique léchée le tout emprunt d’une senteur et de thématiques typiquement orientales, ce cru 2009 de Dreamworks se pose sans conteste comme la nouvelle référence du film d’animation avec antihéros sympathique par sa gauchitude. Pour résumer le film avec du vocabulaire apparenté à celui que vous y découvrirez je choisis : topissime. D’autant plus que dans Spider-Man 3 les nombreux combats entre le héros et les vilains sont assez difficiles à suivre mais ici il n’en ai rien, tout est d’une fluidité à en faire pâlir les fabricants d’écrans plat qui ne trouvent quasiment plus rien d’autre que le design comme argument publicitaire.
Pour l’anecdote sachez qu’à cause d’un pigeon entré on ne sait comment dans la grande salle, où l’espace disponible pour les jambes est phénoménal, nous n’avons pas pu y avoir la projection et que nous avons étés réorientés vers une autre que nous avons quittés en constatant que les gens sont déguelasses, j’ose le terme, car il laisse leurs détritus sur place et foutent du pop-corn partout. Si vous vous sentez visés sachez que d’autres font de leur mieux pour ne laisser aucune trace de leur passage. Je préfère en effet vous inciter à aller voir les films en écrivant sur ce petit bout de net plutôt qu’en laissant à ma place une canette vide.
Contrairement à ce que j'ai écrit dans cette note ce film n'est en rien la suite de Madagascar
Comme j’avais des places 2 € pour prolonger la fête du cinéma (merci la BNP) je suis allé voir le nouveau film d’Eric et Ramzy. Ne partez pas ! Ca vaut le détour ! J’ai entendu parler de ce film il y a environ deux mois je dirai en zappant sur tf1 me semble t il. D’emblée ma curiosité a été titillée car on voyait dans les premières images des plans de Paris vide. Pas un chat sur les Champs-Elysées au sens propre comme au figuré. Il y en a plus d’un que cela fait rêver et je suis de ceux la même si je ne suis pas parisien.
L’histoire est celle de Gervais (Eric Judor), un gars un peu moyen qui travaille dans la police et rêve de coincer la petite frappe qu’est Curtis (Ramzy Bedia) mais utilise pour cela des méthodes à peu près aussi fiable que la divination avec des feuilles de thé alors que Curtis fait preuve de méthode forte pour ses méfaits d’envergure. Un jour leurs routes se croisent de très près et Curtis ne peut s’empêcher de faire une mauvaise blague à celui qui le recherche pour la justice, contrairement à d’autres qui cherchent à l’éliminer. C’est alors qu’arrive l’imprévisible ; Gervais se retrouve seul et désemparé dans un Paris aussi bruyant qu’une carpe, du moins jusqu’à ce qu’il se rende compte que sa cible est la seule autre personne qui vive cette étrange situation. Ce dernier ne se fixe aucune limite et commet tout les excès qu’il peut au grand damn de Gervais qui souhaite ardemment le « retour » des parisiens dont sa future femme, qui a disparue en même temps que tous les autres alors même qu’elle souhaite autant que lui assister à sa propre cérémonie de mariage.
Mais la situation est-elle vraiment ce qu’elle semble être ? Pourquoi ne reste-t-il plus qu’eux ? C’est ce que vous découvrirez dans ce film poilant dont la fantaisie permet de mettre en image des situations tour a tour cocasses, insolites et inimaginables sauf évidemment par Eric et ramzy qui, ici, versent peu, et c’est tant mieux, dans le lourdingue.
A noter que ce film à un précédent avec le « Angel-A » de Luc Besson qui à, je crois, fais un flop en dépit de la prestation inhabituelle de Jamel Debbouze
Encore un super-héros qui passe au grand écran. Même si je n’ai jamais lu un seul phylactère du comic original j’ai eu envie d’aller voir ce film. Surtout après la bande annonce autant prometteuse et alléchante que racoleuse. A noter que c’est le premier film de Marvel Studios qui ainsi évite que ce soit une autre structure qui se remplisse les poches avec l’aura et la notoriété des personnages de la maison d’éditions.
Comme tout super héros qui se respecte Iron-man à une identité secrète en la personne de Tony Stark, magnat de l’industrie de l’armement dont la vie bascule un jour où il est pris en otage après une démonstration de son matériel en Afghanistan. Contrairement à ce que j’ai écris dans cette note. Avant cet évènement Stark est un peu le Dr House de l’industrie militaire, une référence dans son domaine mais au cœur visiblement aussi dur que ses armes sont puissantes. Pour échapper à ses ravisseurs il crée la version de base de ce qui deviendra ultérieurement l’équipement qui fait de lui Iron-Man. Son évasion lui donne l’occasion de se rendre compte que la logique du plus fort est bonne mais seulement tant qu’on est le plus fort, ce qui n’est pas vraiment le cas de ceux qui sont placés du mauvais coté d’un arme, à fortiori si elle est produite par Stark Industries.
Plus qu’un simple film d’explosions Iron-man bénéficie d’un montage bien conçu, d’une intrigue pas trop légère et de rebondissements pas trop prévisibles. Le scénario aborde des thèmes universels comme le lien étroit entre le bien et le mal, l’argent, le pouvoir, l’ambition, l’amour, le mépris et la rédemption. Je n’irai pas jusqu'à écrire que c’est hautement philosophique mais pour moi cela serait vraiment trop réducteur de le classer dans les films pan-pan-boum-boum.
Mise à jour du 6 juin
Les nouvelles aventures de Manny, Diego et Sid sont sous-titrées l'Aube des dinosaures
Nous sommes sortis en famille , même papa et maman sont venus, pour voir ce film d’animations des plus sympathiques.Mise à jour du 10 Avril
C'est maintenant officiel, "Bienvenue chez les ch'tis" est le film français ayant enregistré le plus d'entrée dans son pays. Il bat le record des 17 millions et des poussières détenus par "La grande vadrouille" depuis 1966. Je me pose toutefois la question de la représentativité d'un tel record, la population actuelle de l'hexagone est-elle réellement comparable à celle d'il y à 40 ans ?
Une autre question aussi intrigante ou presque c'est l'adaptation de ce film à succès en jeux vidéos comme beaucoup d'autres. Ne cherchez plus cela aura lieu sur Wii. Reste à savoir si cela vaudra le coup vu que très souvent les passages du grand écran aux manettes sont souvent décevants mais pas autant que dans l'autre sens.
Publication initiale du 23 Mars
Cette fois nous pouvons entrer dans la salle. Bien que l’ont soient dans un ciné plus cher que d’habitude je ne me ruine pas puisque j’ai gagné deux places sur un site web promu par la BNP, partenaire exclusif du printemps du cinéma, qui en prolonge la durée.
Après une attente plus longue que d’ordinaire (je pense que je ne suis jamais venu autant en avance pour un film) le film commence.
C’est l’histoire de Philippe Abrams (Kad Merad), cadre de La Poste qui à épousé une emmerdeuse dont la femme Julie (Zoé Felix) est dépressive et pense donc que la vie sur la cote d’azur est LA solution à tout ses problèmes. Il triche pour obtenir une mutation conforme à ses souhaits mais la supercherie est découverte. Il se retrouve muté à Bergues, petite ville d’un territoire de sinistre réputation : le Nord.
Guidé par Antoine Bailleul (Dany Boon), un des employés du bureau local, Abrams découvre le quotidien local et ses nombreux aspects : le climat agréable, les petits tracas des gens, leurs loisirs et surtout … le parlé ch’timi. Le fait qu’il ne connaisse pas ses expressions et les leçons sur le tas sont autant de gags mais le plus gênant c’est que quand il revoit sa femme pendant les week-end il la laisse croire que sa nouvelle vie est un enfer. Elle décide donc de venir le soutenir. Il tente bien de l’en dissuader mais est contraint et forcé d’avouer ses mensonges à ses collègues qui n’apprécie pas vraiment mais l’aide quand même à mettre en place un tableau drolatique mais peu flatteur du quotidien.
Pour faire simple le film s’amuse à tordre le coup à tout les clichés que les gens du Sud ont sur ceux du Nord et fait pleurer de rire tellement c’est fait de façon distrayante.