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Seuls Two

Comme j’avais des places 2 € pour prolonger la fête du cinéma (merci la BNP) je suis allé voir le nouveau film d’Eric et Ramzy. Ne partez pas ! Ca vaut le détour ! J’ai entendu parler de ce film il y a environ deux mois je dirai en zappant sur tf1 me semble t il. D’emblée ma curiosité a été titillée car on voyait dans les premières images des plans de Paris vide. Pas un chat sur les Champs-Elysées au sens propre comme au figuré. Il y en a plus d’un que cela fait rêver et je suis de ceux la même si je ne suis pas parisien.
L’histoire est celle de Gervais (Eric Judor), un gars un peu moyen qui travaille dans la police et rêve de coincer la petite frappe qu’est Curtis (Ramzy Bedia) mais utilise pour cela des méthodes à peu près aussi fiable que la divination avec des feuilles de thé alors que Curtis fait preuve de méthode forte pour ses méfaits d’envergure. Un jour leurs routes se croisent de très près et Curtis ne peut s’empêcher de faire une mauvaise blague à celui qui le recherche pour la justice, contrairement à d’autres qui cherchent à l’éliminer. C’est alors qu’arrive l’imprévisible ; Gervais se retrouve seul et désemparé dans un Paris aussi bruyant qu’une carpe, du moins jusqu’à ce qu’il se rende compte que sa cible est la seule autre personne qui vive cette étrange situation. Ce dernier ne se fixe aucune limite et commet tout les excès qu’il peut au grand damn de Gervais qui souhaite ardemment le « retour » des parisiens dont sa future femme, qui a disparue en même temps que tous les autres alors même qu’elle souhaite autant que lui assister à sa propre cérémonie de mariage.
Mais la situation est-elle vraiment ce qu’elle semble être ? Pourquoi ne reste-t-il plus qu’eux ? C’est ce que vous découvrirez dans ce film poilant dont la fantaisie permet de mettre en image des situations tour a tour cocasses, insolites et inimaginables sauf évidemment par Eric et ramzy qui, ici, versent peu, et c’est tant mieux, dans le lourdingue.
A noter que ce film à un précédent avec le « Angel-A » de Luc Besson qui à, je crois, fais un flop en dépit de la prestation inhabituelle de Jamel Debbouze

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