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Bienvenue chez les ch'tis

Mise à jour du 10 Avril
C'est maintenant officiel, "Bienvenue chez les ch'tis" est le film français ayant enregistré le plus d'entrée dans son pays. Il bat le record des 17 millions et des poussières détenus par "La grande vadrouille" depuis 1966. Je me pose toutefois la question de la représentativité d'un tel record, la population actuelle de l'hexagone est-elle réellement comparable à celle d'il y à 40 ans ?
Une autre question aussi intrigante ou presque c'est l'adaptation de ce film à succès en jeux vidéos comme beaucoup d'autres. Ne cherchez plus cela aura lieu sur Wii. Reste à savoir si cela vaudra le coup vu que très souvent les passages du grand écran aux manettes sont souvent décevants mais pas autant que dans l'autre sens.

Publication initiale du 23 Mars
Cette fois nous pouvons entrer dans la salle. Bien que l’ont soient dans un ciné plus cher que d’habitude je ne me ruine pas puisque j’ai gagné deux places sur un site web promu par la BNP, partenaire exclusif du printemps du cinéma, qui en prolonge la durée.
Après une attente plus longue que d’ordinaire (je pense que je ne suis jamais venu autant en avance pour un film) le film commence.
C’est l’histoire de Philippe Abrams (Kad Merad), cadre de La Poste qui à épousé une emmerdeuse dont la femme Julie (Zoé Felix) est dépressive et pense donc que la vie sur la cote d’azur est LA solution à tout ses problèmes. Il triche pour obtenir une mutation conforme à ses souhaits mais la supercherie est découverte. Il se retrouve muté à Bergues, petite ville d’un territoire de sinistre réputation : le Nord.
Guidé par Antoine Bailleul (Dany Boon), un des employés du bureau local, Abrams découvre le quotidien local et ses nombreux aspects : le climat agréable, les petits tracas des gens, leurs loisirs et surtout … le parlé ch’timi. Le fait qu’il ne connaisse pas ses expressions et les leçons sur le tas sont autant de gags mais le plus gênant c’est que quand il revoit sa femme pendant les week-end il la laisse croire que sa nouvelle vie est un enfer. Elle décide donc de venir le soutenir. Il tente bien de l’en dissuader mais est contraint et forcé d’avouer ses mensonges à ses collègues qui n’apprécie pas vraiment mais l’aide quand même à mettre en place un tableau drolatique mais peu flatteur du quotidien.
Pour faire simple le film s’amuse à tordre le coup à tout les clichés que les gens du Sud ont sur ceux du Nord et fait pleurer de rire tellement c’est fait de façon distrayante.

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