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Aujourd'hui on a reçu par la poste un paquet de photos de la star de la famille : Nina. Comme je ne peux pas vous les montrer toutes je vais être bien partial et vous donner seulement celle là.
Papa s'est fendu d'un commentaire acerbe sur le fait que Nina a été plus prise en photo en dix mois que lui en dix ans. J'espère qu'il à réalisé plus tard qu'en quarante ans le matériel photographique a eu largement le temps de se démocratiser.
Histoire de profiter de la fête du cinéma je suis allé voir ce film qui ne me semblait pas trop mauvais au vu de la bande annonce. D'ailleurs à propos de BA celles précédant le film n'étaient que des productions ayant un rapport plus ou moins lointain avec Disney: Prince of Persia : les sables du temps, Alice au pays des merveilles, Le choc des titans et Iron Man 2. Mais revenons en au film du jour.
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Pour être sûr d'en mettre plein la vue dès le début du film la première scène montre Poséidon entierement aqueux, ca se comprend facilement, sortir de la mer en version king size, sous les yeux ébahis d'un pécheur, puis adapter une taille rationnelle en se débarrassant d'un « trop-plein » d'eau. Il se rend au sommet d'un building et rencontre ni plus ni moins que son frère et roi Zeus qui lui expose un problème grave : si son neveu (à Zeus) Percy ne lui rend pas l'Eclair, l'arme la plus puissante sur Terre, avant le solstice d'été (soit environ 15 jours) alors ce sera la guerre.
Le problème c'est que Percy n'est pas le voleur de foudre. Il ne sait même pas qu'il est un fils de Poseidon alors comment ferait-il pour dérober quelque chose dont il ignore l'existence ? Mais cela ne va pas durer longtemps ! Repéré par ceux qui convoitent l'Eclair, il se voit contraint de fuir vers un camp où il sera en sécurité et où il découvre la vraie nature de son père ainsi que celle de certaines personnes de son entourage. Au cours d'une soirée il quitte le camp avec une idée en tête, elle sera sa quête.
Adaptation du premier tome d'une série de roman de jeunesse, ce film divertit mais ne peut pas réellement rivaliser avec le trop bien établi Harry Potter, qui ne joue pas exactement dans le même catégorie. A la lecture des résumés trouvés sur le net j'ai l'impression que les aventures de Percy ont subies plus de coupes que celles de Harry. Il n'empêche que Chris Colombus, déjà à l'œuvre sur les deux premiers HP, s'en sort plutôt pas mal avec le scénario qu'il à co-écrit. Quoi qu'un brin répétitif ce dernier est suffisant pour ne pas être franchement ennuyeux pendant la section « road-movie » de la quête même s'il y a selon moi quelques problèmes de logique. Le fond musical est crédible et illustre intelligemment les scènes où il est le plus présent. Il y a un moment où j'ai trouvé que le dialogue manquait de spontanéité mais l'ensemble est correct. A noter que Percy est un peu nul en mythologie mais le film aurait été moins bon si cela n'avait pas été le cas. Pour ce qui est des acteurs Sean Bean n'est pas celui qui déplace le plus les foules, interprète de Zeus ou pas il est quand même moins bankable que Pierce Brosnan (007) ou Uma Thurman (Kill Bill...). Celui qui y gagne le plus dans ce film c'est bien évidemment Logan Lerman, l'interprete de Percy, qui ajoute les trois bankables précités à sa déjà longue liste : Mel Gibson, Heath Ledger, Drew Barrymore, Christian Bale...
Les derniers travaux sont en cours sur la Strata Tower, un immeuble du quartier sud-londonien Elephant and Castle. La particularité de l'édifice est qu'à son sommet se trouve trois éoliennes qui fourniront 8% des besoins électriques du lieu. Il faut dire qu'à 150 mètres de haut le vent atteint 60km/h, ca aurait été bête de ne pas en profiter !
Les éoliennes auront cinq pales pour ne pas être trop bruyantes. La question ne se serait pas posée si l'auto-consommation électrique avait eu pour origine des panneaux solaires mais pour atteindre les 8% il aurait fallu recouvrir en toute la façade de l'immeuble, ce que les concepteurs trouvaient moins esthétique. Cela aurait sans doute aussi couté plus cher à la réalisation et à l'entretien mais cela n'enlève rien au fait que l'initiative est des plus louable.
L'immeuble est même en avance sur son temps puisque le gouvernement britannique compte mettre en place, d'ici 2019, une loi imposant à toutes les nouvelles constructions d'être énergétiquement neutres
Aujourd'hui est un nouveau jour sombre de l'histoire du ballon rond. Yann L., supporter du P.S.G. est décédé suite à son passage à tabac survenu lors de l'affrontement du 28 février dernier. Celui ci opposait des supporters ayant leurs habitudes à la tribune Auteuil et d'autres à la tribune Boulogne. Je pense que des supporters d'un même club sportif qui s'affrontent jusqu'à entraîner de telles extremités est à placer sur un barreau hautement négatif de l'échelle de l'intelligence. Comme j'ai un peu de mal à expliquer ce que je pense je laisse la parole à Rama Yade, actuelle secrétaire d'Etat chargée des sports : « Le pire est arrivé. La passion s'est transformée en rage sordide, insensée, meurtrière. L'amour du maillot est devenu haine de l'autre, haine du sport, haine de la vie. C'est une victoire pour la barbarie et une défaite pour le sport, la fraternité, la civilisation. »
Je viens de regarder ce documentaire télé sur l'obéissance. Si vous l'avez vue aussi vous pouvez lire toute la note où aller directement au dernier paragraphe.
Réinterprétation moderne de l'expérience de Milgram, que je ne connaissais pas je l'avoue, elle prend ici la forme d'un jeu télé où un candidat doit envoyer des décharges électriques à un autre s'il se trompe dans les réponses aux questions posées. Comme seul le questionneur n'est pas informé de la réalité du moment (l'expérience), celui qui doit répondre pour gagner seul une somme d'argent (qui n'est en fait pas en jeu) se trompe tout le temps et fait semblant de subir les décharges de plus en plus violentes, et sur la fin potentiellement mortelles, délivrés par le questionneur qui actionne les manettes.
Au bout d'un moment le comédien ne répond même plus aux questions et implore le questionneur d'arrêter. Ce qu'il ne fait pas puisque selon la règle ne pas répondre c'est répondre mal. Il faut dire que les encouragements de l'animatrice, qui le dédouane des conséquences, et du public (qui sait ce qu'il se passe) ne l'aident pas à imposer la volonté du comédien quand il finit par vouloir accéder à ses requêtes. Se pliant aux consignes très peu ont finalement imposés leur point de vue et sont donc allés jusqu'à la délivrance de la plus forte décharge.
Du moins tant que la présentatrice était là et c'est là que ca devient intéressante. En effet avec certains questionneurs elle partait au cours du jeu en laissant le questionneur seul aux commandes. Il ne tardait pas à se débiner et à partir lui aussi.
L’expérience était donc concluante selon moi. Ce qui y ont vus dans cette émission une analyse de l'impact de la télé-réalité ou plus simplement des jeux TV se trompent de débat.
C'est à peu près ce qui m'est arrivé dernièrement. Sauf qu'heureusement pour moi j'étais la victime de la casse. En effet en juin dernier j'ai profité d'une promo sur le Star Wars Shop (basé en Californie) pour précommander un buste destiné à enrichir ma collection, le Stormtrooper Commander du jeu "le pouvoir de la force". Le temps passe et la production de l'objet subit des contretemps mais j'ai confiance et confirme vouloir finir par recevoir cet objet :
C'est enfin le cas fin janvier, comme le livreur ne trouve pas la maison je lui donne rendez-vous dans Cancon. Tout content de mon acquisition je signe le bon de livraison et repars à la maison déballer mon paquet et là, consternation : l'objet est cassé. Je laisse un peu l'eau couler sous les ponts et puis quand même je me dis que ce serait trop bête de ne pas essayer de faire valoir la garantie "no-hassle, 30 day return" offerte par le site web. Seulement comme j'ai payé quasiment autant pour les frais de port que pour l'objet j'essaie de leur faire prendre en charge la réparation par un atelier français afin de m'éviter un coûteux aller retour France/États-unis. Et c'est là que l'inespéré ce produit, l'échange d'emails fait ressortir que je n'ai même pas à renvoyer l'objet cassé, le site m'offre une autre exemplaire de l'objet, les frais de port et vont même jusqu'à truquer la déclaration de douane pour m'éviter des taxes d'importation.
Je suis toutefois bien décidé à ne pas me faire avoir une deuxième fois et faire valoir mon droit à déballer mon colis avant de signer le bon de livraison. Pour cause de réveil tardif c'est en fait maman qui à signée sans rien regarder mais je ne lui en veux pas (1 je ne l'ai pas averti, 2 j'avais qu'à me lever). J'ai donc maintenant deux exemplaires d'un objet numéroté pour le prix net de ... deux. Bin ouais parce qu'il m'a fallu payer des frais de port sur l'envoi initial auxquels se sont ajoutés ceux de FedEx et en plus il me faudra quand même payer la réparation de l'exemplaire cassé quand je voudrais l'exposer dignement. Ça à peut être pas l'air mais je pense avoir fais une super affaire!!
C'est aujourd'hui que commencent les jeux paralympiques de Vancouver. Les sportifs qui y participent méritent selon moi une couverture médiatique aussi étendue, sinon plus, que les valides. Malheureusement les diktats télévisuels vont probablement réduire à peau de chagrin les programmes qui y sont consacrés et/ou leur visibilité, je trouve cela bien triste !
Ce n'est pas exactement un palindrome mais c'est l'impression que cela donne.
Pour ceux qui auraient eu comme moi du mal à suivre en détails du premier coup, la clé du texte est une opposition thèse / antithèse. En effet quand il est lu dans un sens il laisse entendre que les bouquins sont bons à jeter et appartiennent au passé alors que quand il est lu dans l'autre les livres deviennent indispensables et éternels.
C'est la question que l'on peut se poser quand on voit que l'Arpp (Autorité de régularisation professionnelle de la publicité) à jugé "dégradante pour la nature humaine" l'affiche promotionnelle du chanteur Saez.
Le hic c'est que l'avis de l'Arpp a été suivi par une grande partie des réseaux d'affichage qui n'ont pas diffusés cette affiche et que la campagne entière se retrouve donc confinée à la quasi clandestinité.
Pour ma part je ne trouve rien de vraiment choquant dans cette image, elle est en lien avec la chanson du même nom (disponible là) et donc parfaitement justifiée. On a déjà vue plus d'une fois une pub pour n'importe quoi rehaussé par la présence d'une bimbo ou même d'une fille ordinaire. Le problème c'est qu'il y en a eu tellement qu'on n'arrive pas à mettre de nom sur la dernière que l'on a vue. A une époque où l'on cherche par tout les moyens à protéger les artistes ce n'est certainement pas en leur mettant des bâtons dans les roues qu'on les fera vivre de leur talents.
Le but étant de marquer les esprits je pense que l'objectif est atteint. J'en viendrais presque à penser comme Saez que l'Arpp n'a pas voulu protéger l'image de la femme mais bien celle du caddie de supermarché, incarnation à lui seul de la (sur)consommation.
Eh bin ! Ces trois semaines de vacances (oui parce que je compte la première de Lyon vu que Coline l'à passée ici) ont à peu près été aussi intéressante que le dos de ma main! Entre les réveils imposés par maman, les après-midis passés à faire chacun son petit truc perso dans son coin et les soirées JO imposées par Coline (sauf heureusement pour moi les jeudis Star Wars) on a pas pris beaucoup le temps de faire des trucs tous ensemble. Il y a bien eu deux scéances au bowling et une visite (avec un trajet épique) chez cuisinière-émérite, je-vis-pas-sans-saucisson et je-mordille-la-table-du-salon. A part ces quelques activités en extérieur je me demande à quoi ça sert d'être 6 dans une maison si on ne se voit que pendant les repas ?
