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  • Retour aux temps jadis

    Damoiselles et damoiseaux voici le récit des péripéties vécues par Gabriel lors de l’après-midi du 18 décembre de l’an de grace 2006. Je venais de ramener Corentin de l’école et alors que nous vaquions à nos occupations respectives il est survenu une coupure d’électricité. Tant pis pour l’EDF qui avais placé la journée en EJP. Plutôt que de laisser la panique nous submerger je me suis diriger vers le disjoncteur central pour remettre le circuit en état de marche. Quelle ne fut pas ma surprise de constater que cela n’avait aucun effet !! Doutant de mes connaissances j’ai immédiatement appelé papa, maman, pépé et tatie (merci le portable) pour qu’au final il apparaisse que nous étions victimes d’une panne de secteur. Ne pouvant faire autrement que sans nous avons fais avec et cela nous a permis de mettre en lumière les habitudes liées à sa domestication (de la lumière). Avec les petits nous avons également sautés sur l’occasion pour faire de l’humour noir sur le même sujet tout en constatant que la maison regorge de lumières zautonomes, autres que nous, qui vont de la bougie au sabre laser en passant par la flopée de lampe de poche.
    Une fois que maman est arrivée à la maison elle s’est renseignée sur le problème du moment et le service local d’EDF l’a informée que la panne s’étendait sur un très large secteur. C’est donc peut être la lumière d’un véhicule d’intervention que j’ai aperçu au long en revenant de Cancon pour amener Corentin à la musique. Le peu de lumière disponible étant les bougies regroupées sur la table de la salle à manger il était évident que nous étions tous autour pour nos occupations diverses sauf Étienne (du moins au début) qui préférait son vieux lumignon quasi inefficace pour éclairer son bureau en totalité, c’est pas parce que le bureau est grand, il est plutôt petit est surchargé mais son lumignon éclaire vraiment que dalle.
    Le courant est finalement revenu alors que Corentin s’apprêtait a en faire de même. Ne pouvant résister à la tentation Etienne et moi avons éteint précipitamment les lumières coupées précédemment pour faire croire que la situation perdurait. La supercherie fut hélas de courte durée car Corentin avait vu une lumière s’éteindre alors qu’il arrivait. Du coup on n’a pas mangé à la lueur des bougies mais les pizzas ont pus être maintenues au chaud le temps que l’on passe à table. Maman a pu travailler à son pc alors que cela ne la réjouissais pas franchement.

  • Même le courrier se lève tôt

    La boite des Durand prend forme, je participe un peu. Si je devais monter la mienne cela pourrait être du service postal vu que la levé est à 14h45 dans mon bled. Je trouve que cela fait un peu tôt, pas vous ? La société historique perd son monopole bientôt. Va falloir que je réfléchisse à la chose.

  • Mémoire courte

    Peut être certains d’entre vous sont passés, mais j’en doute, sur le blog pendant que je testais la fonction des listes. Je sais plus quelle nuit c'étais. J’ai eu un peu de mal à en comprendre le fonctionnement et comme le résultat n’était pas ce que j’attendais je les mettrais en place plus tard en suivant le protocole suivant : seul les objets récents du thème concerné seront dans la liste et le détail sera dans une note que je publierai quand j’aurais la matière pour. La liste et la note correspondante seront mises à jour dès que j'en aurais le temps après que cela soit devenu nécessaire.

  • Retour à la case de Paris

    Lever super tôt (3h30) et dans l’urgence, à peine le temps d’avaler un biscuit et me voila au volant de la voiture en direction de la gare d’Agen, je roule un brin trop vite car si je rate mon train je suis dans la ...... Finalement j’arrive à temps pour monter dans le TER jusqu’à Bordeaux où je change sans problème. Je réussis à dormir pendant le trajet, sans doute parce que ca bouge nettement moins. En arrivant à Montparnasse je fais un peu de tourisme en m’extasiant devant la tour du même nom puis je plonge dans le métro après avoir acheté un carnet entier de tickets histoire d'être sûr d'en avoir assez. En parfait touriste et éternel gamin je suis fou de joie quand la Tour Eiffel pointe le bout de son antenne au dessus des toits. Comme le hasard fais bien les choses mon métro traverse la Seine en aérien et je prends au passage une super photo de la tour à Gustave. Après mon cliché je passe instantanément de l'état de touriste parfait à celui de parisien blasé en demandant à quelqu'un à coté de qui je cherche à m'assoir: "Vous descendez à l'étoile?". J’arrive finalement à la Défense et je suis rassuré puisque j’ai repéré le bâtiment en arrivant, pas dur, c’est un des premiers, juste sur le bord de Seine. Je me recoiffe une dernier coup (si, je vous jure) et serre ma cravate puis passe l’entretien avec plus ou moins de décontraction. Je sais que je n’ai pas été parfait mais de toute façon c’est trop tard pour changer quelque chose, la réponse quelle qu’elle soit arrive en fin de semaine ou début de semaine prochaine. Après tout ce stress je décompresse un bon coup en me promenant dans la Défense où je suis surpris de trouver des habitations, un centre commercial et un musée traitant étonnamment de la construction de… la Défense. Je me fais raconter les actions d’une ONG genre médecins du monde par une jeune fille visiblement heureuse de trouver quelqu’un qui à du temps pour l’écouter et qui plus est le demande. La sirène hurle midi à tous ceux qui sont là et même à ceux qui ne veulent pas entendre. Dans le CNIT je fais une vidéo sans me rendre compte que je suis sous un Hilton, je rentre à la Fnac juste à coté et trouve pleins de trucs chouette (BDs, livres, DVDs…) mais je ne mémorise en fait que peu de noms. Ce n’est qu’en sortant du bâtiment que je me rends compte que les poignées des portes ont la même forme que le toit. Je redescends vers le petit snack que j’avais remarqué pour prendre une pose repas. Après ca je me décide à aller à l’arc de triomphe mais en métro parce que ca fait loin à pied. Je prends quelques photos du monument dont certaines en m’arrêtant au milieu des passages piéton en bout d’avenues. Je me rends à l’office de tourisme et constate qu’à la place se trouve un magasin Lancel (bin zut alors mon plan est trop vieux !) Sur la façade je note une affiche qui donne envie d’être plus souvent à la Concorde à 5 h du mat’ puisqu’ Alice Taglioni (mais cette blonde quelle pute ! pas vrai jéjé ?) et Laurent Manaudou font mumuse dans une fontaine de la place de La Concorde. Quelques minutes plus tard je suis moi-même à la Concorde et prends en photo l’obélisque et son chapeau décoré à la feuille d’or. Ils sont fous ces égyptiens de construire des trucs pareils, mais le plus con c’est quand même Napoléon il aurait pas pu ramener une pyramide plutôt !!
    Face à la profusion de sites à proximité je fais au feeling et j’ai donc vu pris en photo ; les bateaux mouches, la tour Eiffel, l’hôtel des invalides, le grand palais, une statue de Simon Bolivar (spécial dédicace aux hispanophones), une de ce grand homme que fut Winston Churchill, quelques célébrités que j’ai reconnu cette fois, la Madelaine, la colonne Vendôme, une statue de Maillol (spécial dédicace aux perpignanais) et enfin le Louvre pour finir l’axe historique.
    Je me résouds à prendre la direction de la gare car le temps passe et accessoirement j’ai mal aux pieds, grâce à ma curiosité je trouve l’entrée de la station de métro et c’est en chemin que je comprends d’où vient le nom de Montparnasse Bienvenü.
    Cette fois encore je n’ai pas eu le temps d’aller jusqu'à Grévin pour trouver Marina, la prochaine fois sera la bonne.
    Vous pensez que mes péripéties se terminent ainsi ? Que nenni ! Car après avoir fini par comprendre la logique SNCF et pris la bonne moitié de mon train à Paris je suis perdu dans la gare de Bordeaux pour trouver la suite de mon trajet. Je repère le tableau d’affichage au bruit caractéristique des palettes qui tournent (dommage qu’ils soient supprimés bientôt) et comme mon train n’y est pas je fais la queue au guichet en dessous. Après de longues minutes d’attentes j’apprends que mon train est annulé et on m’envoie ailleurs pour savoir où est le bus qui le remplace. Les indications du bureau que je finis par trouver sont assez floues mais j’utilise mon instinct par trouver les bus devant lesquels attend une petite foule. Pas beaucoup d’infos jusqu’au minutes avant le départ alors je discute avec ceux qui comme moi sont dans l’expectative. Finalement le bus part, avec un peu de retard sur l’horaire du train, pour Marmande en prenant l’autoroute. Les télés à bord reproduisent l’affichage du GPS du chauffeur, c’est sympa comme appareil mais pas indispensable selon moi surtout que l’appareil se trompe à l’entrée de la ville, c’est sans doute pourquoi le chauffeur l’éteint. Pas vraiment de soucis jusqu'à Agen où je retrouve la Kadettmobile pour revenir à la maison où je me couche en réussissant à ne pas réveiller mes parents !!

    Les photos sont visibles en cliquant sur l'image qui suit pour avoir une animation sympa style album à pages. Pour profiter des titres, commentaires et un plus grand format il vous faut aller dans l'album photo correspondant ou mieux encore en demandant les fichiers d'origine à Gaby.

  • Mieux qu'un cachet d'aspirine

    C’est l’effervescence ce lundi matin, je me suis levé pour je ne sais plus quelle raison et je m’apprête à me recoucher, vu que je suis allé au lit vers 2h30 du mat, quand soudain mon portable sonne. A l’autre bout du fil, celui de la France ou presque, à la Défense on aurait besoin de moi. Mon C.V. a effectivement circulé dans les mains de responsables d’hôtels Accor puisque c’est dans un Novotel que je suis attendu dès mercredi. L’après-midi même je me suis rendu à l’anpe pour faire établir un bon de transport puis à la gare pour prendre mes billets, les trajets que j’avais pris la dernière fois étant déjà complets j’en ai prends à d’autres horaires mais déjà la journée s’annonce longue.

  • Pour sortir du train-train quotidien

    Pour son anniversaire Corentin s’est fait offrir par Mamie un jeu super sympa qui s’appelle « Les aventuriers du rail en Europe ». Le principe de base, ca tombe sous le sens, est de construire des lignes de trains à travers toute l’Europe et en Turquie. Comme ce week-end s‘annonçait exceptionnellement morose nous avons restauré la tradition familiale du jeu de société qui m’est si chère (vous pouvez verser une larme !). Les règles sont assez longues à lire, Maman s’en est chargée, mais le jeu est super bien fait. Forcément on a mis un temps fou à finir la première partie mais on s’est bien amusé surtout à partir du moment où on à réalisé qu’on était quatre joueurs et pas trois, ca peut sembler anodin mais ca ouvre de nouvelles possibilités. J’ai écrasé tout le monde grâce à une stratégie autant ambitieuse qu’audacieuse et un bluff permanent. Le déroulement de la partie nous à donné matière à réflexion pour la partie du lendemain où j’ai fini bon dernier.
    Avis à tous les toulousains permanent ou spontanés, ce jeu à été acheter à la boutique « Le passe temps » au 30, rue des Lois.