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Red Faction

Pensant profité habillement d’une de mes astuces sur le web que j’ai en fait mal mis en pratique je me suis retrouvé propriétaire d’un exemplaire de ce jeu que j’avais entamé lors de mon séjour aux Etats-Unis.
Comme c’était en français j’ai cette fois compris en détails le cadre de l’histoire. Mon personnage est un de très nombreux mineurs exploités sans vergogne et dans des conditions inhumaines par la société Ultor œuvrant sur Mars. La révolte gronde et quand le grand jour arrive enfin je ne tarde pas à choisir mon camp. Quitte à mourir autant que ce soit avec mérite. Enfin bref.. C’est un jeu déconseillé aux moins de 12 ans (si c’est votre cas passez votre chemin) et qualifié, il me semble, de « shoot them all ». Pour ce qui ne connaissent pas cela consiste à résumer le personnage par une main tenant une arme servant à faire passer à gauche celle de ceux qui me tirent dessus quasiment sans sommation. Fort de l’artillerie que je transportait, environ une dizaine d’armes sur les quatorze disponibles (bâton électrique, pistolet 12mm, mitraillette, fusil automatique, fusil d’assaut, fusil à lunettes, explosif télécommandé, grenade, lance-flammes, lance roquettes, arme électromagnétique qui tire à travers les murs, fusil de précision, mitrailleuse lourde et enfin lance-roquettes à fusion) sans compter les munitions en grand nombre, prises très souvent comme les armes aux cadavres laissés derrière moi, j’ai traversé dans le désordre des galeries de mines en activité ou non, des hangars, des bureaux, des labos, un métro, un hôpital, des conduits en tout genres, de très nombreux couloirs, des canyons, des lacs, une station spatiale, un centre de télécoms etc etc en dégommant tous les personnages armés que je croisais avant que ce ne soit eux qui m’envoient ad patres, ce qui est arrivé des dizaines de fois pour diverses raisons. La phrase vient de se finir. Mon parcours était émaillé de quelques installations à détruire ou saboter et de méchants très vilain à supprimer dont un savant fou et le colonel des mercenaires qui devaient écraser la rébellion. Les autres personnages étaient de plus en plus méchant et de mieux en mieux protégés et armés donc je suis progressivement passé du tranquille 12mm à la sympathique mitrailleuse lourde (que de poésie dans tout ca !). J’avais heureusement un allié dans la place qui faisait en sorte de me faciliter les choses en m’indiquant quoi faire et j’étais également en relation avec la leader de la rébellion. Comme tout est bien qui finit bien la force d’intervention terrestre est arrivée à temps pour finir le ménage en toute légalité mais avec à peu près les mêmes méthodes. Alors vous me direz peut être que ce jeu est complètement bourrin et abrutissant, surtout si je vous révèle que certains éléments du décors était entièrement destructibles. Pas vraiment en fait puisque la dernière épreuve consistait à désamorcer une bombe, visiblement nucléaire et de forte puissance, en trouvant deux combinaisons successives (parmi respectivement 256 et 4096 possibilités) le tout en moins d’une minute. Chaque fois que j’entrais un mauvais symbole ce que j’avais de juste dans la combinaisons en cours s’effaçait et chaque fois que la bombe m’explosait à la figure, c’est arrivé au moins trois fois, le code changeait.
J’ai fini le jeu assez rapidement (environ trois jours) et c’est pas plus mal car c’est assez prenant alors que j’ai des trucs plus important à faire.

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