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It's a new day !

C’est désormais officiel : à compter du 20 janvier prochain, le siège de l’homme le plus puissant de la planète sera occupé par celui qui est d’ores et déjà l’homme de l’année : Barack Obama. Ce « simple » fait lui vaut d’avoir déjà son nom inscrit dans l’Histoire mais un deuxième et non des moindres s’y ajoute : il n’est pas blanc ! Comment ca vous saviez déjà ? Presque inconnu sur la scène internationale il y a de cela quelques mois, il a réussi le tour de force de s’imposer au primaires de son parti face à l’ex first-lady du précédent occupant démocrate du bureau ovale : Bill Clinton.
La recette pour y arriver : une volonté de fer, un appui sur les medias comme sans doute jamais aucun candidat avant lui mais aussi et surtout sur un slogan simple court et efficace qui condense véritablement son programme : « Yes, we can ». La combinaison de tout ces éléments à fait en sorte que ce qui n’était au départ qu’un vague bruit de fond devienne au fil du temps un véritable ouragan d’évidence qui à balayé sans trop de difficulté la timide candidature des républicains (y ont-ils eux-mêmes crus sans faillir ?) et ainsi renvoyer John McCain à l’hospice des vétérans et Sarah Pallin, le pitbull avec du rouge à lèvres, dans sa niche XXL qu’est l’Alaska.
Cela étant son mandat ne sera pas de tout repos et les dossiers volumineux se disputent déjà l’espace disponible sur son bureau : budget et crise financière, guerres en Afghanistan et Irak, écologie, sécurité sociale, dépense militaire, programme spatial et tutti quanti…
Je suis bien content que les démocrates soient de nouveau au pouvoir, pourvu qu'ils y restent plus d'un mandat, ils feront peut être moins pire que les républicains.
Les scènes de liesse après l'annonce de la victoire était globalement compréhensibles quand c'était des noirs américains qui, n'en croyant pas leurs sens, s'écriaient des "Oh my God !" à en perdre le souffle. En revanche les cris de joie des minorités du fond des des cités françaises je trouve ca complètement débile ! Surtout quand on sait que les américains n'ont absolument rien à faire de l'avis des français sur leur président.
Le saviez vous ? Le bureau ovale possède son propre code postal et son adresse voit arriver cinq millions de lettres par an

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