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  • Youpi un diplôme

    Comme tout les élèves de la classe j’ai reçu mes notes et je vous en donne le détails. Je laisse chacun de vous imaginer la raison qui me pousse (mais pas très fort) à vous les révéler.
    Français : 6,5
    Español : 10
    Anglais : 13
    Analyse de l’espace territorial : 11
    Economie et droit appliqués au tourisme : 10
    Etudes d’opérations touristiques : 11.5
    Projet et actions touristiques : 9
    Option patrimoine culturel régional touristique (Aquitaine) : 11

    Quand je pense à l’assiduité que j’ai déployé dans certains cas je trouve bizarre d’avoir eu le bts alors que d’autres ne l’ont pas eu. Dois y avoir quelque part une commission de régulation qui à arrondi tout ca pour faire en sorte que je l’ai ce diplôme.

  • Travail à l’air libre

    A l’insistance de ma mère, j’ai quitté Perpignan pour prêter main forte sur l'expoitation familiale et il y en avait bien besoin. Avec l’apprenti de papa on à mis au moins une semaine à démonter buche par buche les petits tas de bois accumulés le long des rangées pour les jeter avec fracas dans une benne. Si vous aviez été là vous auriez pu noter avec quel flegme on le faisait et la poésie qu’il s’en dégageait. C’était émouvant (rires) au début mais après on pensait surtout que ca faisait mal au dos. On a formé au final un tas d’un petit paquet de mètre cube de bois qui va bruler dans la cheminée les hivers prochains. A tout malheur quelque chose est bon. Immédiatement après cela j’ai enchainé sur un autre job, la pose de filets para grêle au dessus des pommiers qui n’en étaient pas encore équipés. Avant d’aller plus loin je précise que l’on mets de tels filets dans le but de s’éviter de payer des assurances aux tarifs astronomiques. La récolte de l’année était fichue à cause du coup de vent du 4 juillet car cela aurait été trop beau si la grêle ne s’y était pas mêlée pour amocher les fruits.

  • Cata en 47

    Le soir du 4 juillet un énorme coup de vent a frappé la région. Selon les spécialistes de la météo qui n’ont pas manqué d’analyser le phénomène on était au stade juste avant la tornade comme celles qui balaient les plaines de l’ouest américain. Ce soir là avait lieu la fête de l’école et tout les enfants avaient un peu peur du vent qui soufflait tellement fort qu’un carreau a pété. On a les a rassurer en leur disant que dans les cas de sinistre c’est toujours dans le gymnase que se réunit la population. Comme on y était déjà on risquait rien ! On s’est aperçu après coup que le plan d’évacuation de l’école juste à coté était à revoir assez profondément.
    La voiture de mon père à pris l’eau de part la façon dont elle était garée sur le parking ; devant un muret en bas du parking en pente où l’eau s’est accumulée. Elle a souffert d’un problème de démarreur assez gênant puis finalement elle à été considérée comme hors service.
    Ce n’est qu’après que le vent ce soit calmé que c’est les parents qui ont commencé à paniquer avec les coups de fils du genre « Ne prenez pas la route untel pour aller à tel endroit, c’est coupé ». Le lendemain la constatation et la consternation était de mise. A un mois de la récolte des prunes de dizaines d’hectares d’arbres avait reçu des dommages considérables dont certains ne ce serait pas relevés. Il n’y a pas eu d’autre solution que de le couper à la tronçonneuse. Tous les producteurs se sont entraidés pour permettre de terminer au plus vite ce chantier considérable.
    J’ai vu une « photo » satellite de l’évènement, il n’y avais pas besoin de la légende pour comprendre que le plus fort de l’évènement avait eu lieu au dessus de nos têtes..