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Vie quotidienne - Page 5

  • L’évènement tant attendu

    Je parle évidement du mariage de Jéjé et de Céline. Je crois bien que j’ai été mis au courant d’une façon assez inhabituelle. C’était un soir alors que nous étions encore en première année. J’étais dans un petit groupe constitué de Céline, Jéjé, Laure et moi. Alors que la voiture roulait dans le centre-ville pour que l’on se rende à la crêperie ou au resto chinois, je ne sais plus, Céline lance subitement en désignant un magasin une phrase du genre « tu vois cette boutique, c’est là que je vais acheter ma robe de mariée ». Heureusement que j’étais déjà assis parce que je peux vous dire que sur le coup ca surprend. Après j’ai eu droit à de nombreux détails tout le temps qui a séparé ce jour de la date fatidique du 5 aout 2006
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    Ce jour là j’ai pris Julien, le cavalier de Julena, en partant de Toulouse et je lui ai commenté les quelques trucs que je connaissais près desquels on passaient. Il à pris pour moi en photo la citadelle de Carcassonne, depuis le temps que je voulais cette photo j’étais content.

    En arrivant à l’appart de Céline, où toutes les filles s‘affolaient de ne pas la voir revenir de chez le coiffeur, je me suis changé et j’ai résolu le problème de musique qui s’était posé puisque j’avais été chargé de trouver la musique, ce que j’avais accepté avec joie.
    Ensuite Christophe, le frère de Jéjé, et sa copine sont arrivés puis la photographe officielle. Quand Céline est enfin arrivée un paquet de monde s’est affairer pour lui mettre sa robe et la maquiller. Puis enfin on est parti en convoi. J’étais en fin de convoi et je l’ai lâché assez rapidement car je ne voyais pas où il allait, c’était dans un bien bel endroit à ce que l’on m’a dit pour aller faire des photos. Cela m’a permis d’arriver le premier à la salle des mariages de Pollestres (avant même le personnel de la mairie) et j’ai en profité pour prendre quelque photos.
    Au fur et à mesure que les invités arrivaient je me sentais perdu, je ne connaissais quasiment que Manue et Aurélie qui avaient comme moi honorées l’invitation. Ce fut une belle cérémonie avec un coup de « boite à vache » raté à la mairie. A l’église il y a eu un bug dans la musique que j’étais chargé d’allumer mais je ne vendrais pas le nom du responsable de l’ordre contradictoire ayant généré le problème, celui-ci résultait d’une méconnaissance de la liste et l’ordre des chansons. J’ai été surpris par le contenu du discours du prêtre mais un jour viendra où ce sera à moi de l’écouter, enfin bref…
    Nous sommes ensuite allés au buffet qui précédait le repas. La décoration de la salle était superbement faite. J’ai été surpris d’avoir été « catapulté » à la table d’honneur, juste à coté de Jéjé. Le repas à été marqué par un léger incident mais cela ne nous a pas empêché de danser entre tous les plats meilleurs que les autres. Même moi j’ai dansé, ceux qui me connaissent savent que c’est rare. Ya une fille qui m'a tapé dans l'oeil mais je ne sais rien d'elle à part que son prénom semble être Camille. A une heure avancé de la nuit et voyant l’assemblée se réduire je suis allé mettre en place mon petit feu d’artifice que j’avais annoncé à Jéjé en lui disant que je rajouterais des étoiles à son ciel mais il devait être trop occupé à profiter de l’instant pour comprendre ce que je lui disais.
    Le lendemain j’ai aidé à débarrasser la salle et à emporter les restes. J’ai fait plus ample connaissance avec la famille de Céline et ca fait bizarre. Je suis resté jusqu’au mardi matin pour pouvoir me rendre à l’évènement pas du tout attendu. J'ai bien fait d'emporter mon pc puisque je suis reparti avec le contenu d'un CD génial; "les malpolis élargissent leur cible" oeuvre d'un groupe nommé les malpolis.

     

  • Cata en 47

    Le soir du 4 juillet un énorme coup de vent a frappé la région. Selon les spécialistes de la météo qui n’ont pas manqué d’analyser le phénomène on était au stade juste avant la tornade comme celles qui balaient les plaines de l’ouest américain. Ce soir là avait lieu la fête de l’école et tout les enfants avaient un peu peur du vent qui soufflait tellement fort qu’un carreau a pété. On a les a rassurer en leur disant que dans les cas de sinistre c’est toujours dans le gymnase que se réunit la population. Comme on y était déjà on risquait rien ! On s’est aperçu après coup que le plan d’évacuation de l’école juste à coté était à revoir assez profondément.
    La voiture de mon père à pris l’eau de part la façon dont elle était garée sur le parking ; devant un muret en bas du parking en pente où l’eau s’est accumulée. Elle a souffert d’un problème de démarreur assez gênant puis finalement elle à été considérée comme hors service.
    Ce n’est qu’après que le vent ce soit calmé que c’est les parents qui ont commencé à paniquer avec les coups de fils du genre « Ne prenez pas la route untel pour aller à tel endroit, c’est coupé ». Le lendemain la constatation et la consternation était de mise. A un mois de la récolte des prunes de dizaines d’hectares d’arbres avait reçu des dommages considérables dont certains ne ce serait pas relevés. Il n’y a pas eu d’autre solution que de le couper à la tronçonneuse. Tous les producteurs se sont entraidés pour permettre de terminer au plus vite ce chantier considérable.
    J’ai vu une « photo » satellite de l’évènement, il n’y avais pas besoin de la légende pour comprendre que le plus fort de l’évènement avait eu lieu au dessus de nos têtes..

  • Le quotidien change

    Nous sommes à la fin du mois de juin. Maintenant que l’examen n’est plus une priorité absolue je trouve que mes journées sont vides. Pas de cours en classe ni à étudier. Je cherche bien du travail mais cela ne donne pas grand chose. Dans les quelques jours après l’examen je suis bien allé à la plage (essentiellement avec Marina, Daphné, Jeroen et Aurélie) mais j’ai eu l’impression (qui s’est confirmé depuis) que rien ne serait plus comme avant.